En cours de chargement...
La poésie prend les airs d'un gamin qui voit la nature en profondeur, se laissant transformer par elle, le poète piétinant les herbes, à l'affût des oiseaux ou d'autres signes moins visibles mais présents dans le mouvement des formes. L'on y entend un attachement davantage qu'une défense, le poète préférant les mots simples - mais indomptables (Roland Giguère). La présence de la nature demeure le lieu rassurant de l'expérience humaine.
L'amour est dans le bois et dans les mots qui lui donnent présence.