Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Eugénie Grandet paraît fin 1833. Honoré de Balzac vient de signer un contrat pour la publication d'une collection intitulée " Étude de mœurs au...
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Eugénie Grandet paraît fin 1833. Honoré de Balzac vient de signer un contrat pour la publication d'une collection intitulée " Étude de mœurs au XIXe siècle ". C'est qu'il envisage maintenant son œuvre littéraire comme un ensemble cohérent. Dans sa préface, il se flatte essentiellement d'avoir voulu dépeindre au plus près la vie provinciale de son temps. De ce décor, il excelle à faire naître des personnages contrastés, jouets des passions humaines : Grandet, l'avare machiavélique, Eugénie, la docile que l'amour éveille à la révolte... et tous ces figurants issus d'une petite ville des bords de Loire.