Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ce roman relate le dernier jour d'un jeune Algérien. Ses nuits sont habitées par des cauchemars vertigineux, et sa tête par des cris que sa gorge refoule....
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Résumé
Ce roman relate le dernier jour d'un jeune Algérien. Ses nuits sont habitées par des cauchemars vertigineux, et sa tête par des cris que sa gorge refoule. Au petit matin, il se réveille pour se rendre compte qu'il a uriné dans son lit. Quand le jour se lève, il s'installe sous un mur de sa cité, la Cité du Précipice, au soleil.
Boualem éprouve dans son corps les vibrations qui montent des profondeurs enténébrées de la terre d'Algérie. Il perçoit, sans les identifier, les ondes d'une métempsycose obscure. Alors, ses yeux se ferment dans sa tête, et dans sa tête il se met en marche. Ayant atteint le sommet d'une montagne, il sent la présence de Dieu. Il scrute obstinément une montagne en face, mais ne voit pas Dieu. Il voit sa solitude sous les traits d'une prostituée ; il sait qu'il doit mourir.
La Cité du Précipice est le deuxième roman de Sadek Aïssat. Comme L'Année des chiens, paru en 1996 aux éditions Anne Carrière, il témoigne d'une écriture puissante, poétique et violente, pour évoquer la situation tragique de l'Algérie contemporaine.