Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ghass ROUZKHOSH est artiste depuis 26 ans. Né en Iran, il a vécu huit années de guerre et a été soldat durant deux ans. Ces expériences douloureuses...
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Résumé
Ghass ROUZKHOSH est artiste depuis 26 ans. Né en Iran, il a vécu huit années de guerre et a été soldat durant deux ans. Ces expériences douloureuses ont changé sa vision de la société. Depuis 16 ans, il n'utilise plus que trois couleurs : le rouge, le noir et le blanc sans mélange. Le rouge lui a été inspiré par la couleur du ciel après un bombardement, le noir par les arbres calcinés.
Pourquoi l'homme fait-il souffrir les autres ainsi ?
" Je ne fais pas de la peinture gentille. Je veux donner la parole aux gens qui n'ont pas la possibilité de parler, car la souffrance appartient à tout le monde. "
Il représente les actes de l'homme pour qu'il en assume les conséquences, pour montrer son côté égoïste, obscur et invisible. Son œuvre est un ensemble (universel) ; il n'y a pas d'individualité, d'élite ou de pays visés. Elle reflète la parole des gens, quels que soient l'individu, la couleur ou le pays. L'artiste est responsable et ne saurait rester silencieux devant la corruption de la nature, l'obscurantisme aveugle et la machine guerrière. Le contemplateur est censé réagir et dénoncer à son tour par son regard.
Après les discours consensuels de l'Art pour l'Art ou du non-Art pour le non-Art, sa peinture retrouve une bataille oubliée, celle de l'éthique qui prédomine sur l'esthétique, qui la rend possible et visible.