J’ai à nouveau tenté ma chance avec E.E Schmitt dont j’ai lu Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, et Oscar et la Dame Rose, avec le sentiment de lire un auteur très inégal. Un avis positif pour ce livre-là me fera fléchir quelque peu dans mon souhait ne plus me laisser piéger une nouvelle fois !!!! Et je crois bien m’être à nouveau fait avoir …
Ce court roman aura au moins l’avantage de se lire facilement, et d’en être assez vite débarrassé. Car au fond que reste-t-il de ces 115 pages ? Quelques sages formules tout droit sorties de la doctrine de Confucius. Elles
ne sont hélas pas nouvelles pour moi ; j’ai les mêmes sur un calendrier perpétuel édité par un magazine célèbre ….
Un conte moderne, je disais, qui aurait gagné à être plus consistant, plus étoffé ; Les formules sont banales. Et le comble, j’y ai vu, ou du moins perçu, l’ombre du commencement d’un plagiat avec un ouvrage à succès de Muriel Barbery ; en tout cas des similitudes troublantes : Madame Ming se faisant renverser par une voiture, tout comme la concierge, il y a quelques années……
Bref, je l’ai fini il y a quelques heures, et je ne m’en souviens presque plus…..Mauvaise pioche !
Monsieur Schmitt, vous avez une bonne tête, vous savez vendre vos bouquins, mais c’est fini, vous ne m’y reprendrez plus.
excellent !
surprenant, un petit livre mais une grande découverte, à lire très vite !