Cher Wallander,
Pour la troisième fois, je vous retrouve… Ce n’est pas la grande forme, on dirait !! Et pourtant, c’est comme cela que je vous préfère ; avec vos soucis : un père qui se remarie avec la femme de ménage, une fille qui vous échappe, avec vos emmerdes du quotidien : on vous cambriole votre appartement, et on vous vole votre chaine Hifi, et vos disques, vous le fou d’opéra (quand même il fallait oser)… Tiens à ce propos, vous avez raison à propos de Rigoletto, si on me le volait, il me manquerait aussi beaucoup !!!
.Je vous sens pas bien dans vos baskets… Le
doute s’empare de vous, et de vos qualités professionnelles .Bref, un homme comme tout le monde !!!
Commissaire vous êtes, et jusqu’au fond de vos tripes. Et là, l’affaire est corsée. Une jeune femme sans histoire retrouvée morte, un doigt d’homme noir perdu dans la nature, puis des morts qui surgissent, ne sont pas pour vous rassurer. Rien ne se tient, rien ne semble pouvoir raccorder les faits…et pourtant. C’est sans compter sur le talent de votre"géniteur", qui ne fait pas de vos aventure un simple polar, mais un véritable état des lieux d’une réalité politique, et historique excellemment amenée, fort bien documentée, et surtout dénuée de tout jugement, et argument à l’emporte-pièce. Si cette fois-ci vous ne quittez pas la Suède, le lecteur est vite emporté par le tourbillon Sud-Africain.
J’ai aimé cheminer avec vous Commissaire ; j’ai pu apprécier votre fibre paternelle quand Linda était en danger, j’ai été rassurée de vous voir vous rapprocher de votre père. Sans en avoir l’air, vous fendez l’armure, jusqu’à rompre le câble même. J’espère sincèrement vous retrouver en meilleur forme dans de nouvelles aventures, qui je n’en doute pas, sauront me faire passer de délicieux moments de lecture.
@ Bientôt Commissaire, et soignez vos bien !
Plus qu'un polar, un état des lieux
Cher Wallander,
Pour la troisième fois, je vous retrouve… Ce n’est pas la grande forme, on dirait !! Et pourtant, c’est comme cela que je vous préfère ; avec vos soucis : un père qui se remarie avec la femme de ménage, une fille qui vous échappe, avec vos emmerdes du quotidien : on vous cambriole votre appartement, et on vous vole votre chaine Hifi, et vos disques, vous le fou d’opéra (quand même il fallait oser)… Tiens à ce propos, vous avez raison à propos de Rigoletto, si on me le volait, il me manquerait aussi beaucoup !!!
.Je vous sens pas bien dans vos baskets… Le doute s’empare de vous, et de vos qualités professionnelles .Bref, un homme comme tout le monde !!!
Commissaire vous êtes, et jusqu’au fond de vos tripes. Et là, l’affaire est corsée. Une jeune femme sans histoire retrouvée morte, un doigt d’homme noir perdu dans la nature, puis des morts qui surgissent, ne sont pas pour vous rassurer. Rien ne se tient, rien ne semble pouvoir raccorder les faits…et pourtant. C’est sans compter sur le talent de votre"géniteur", qui ne fait pas de vos aventure un simple polar, mais un véritable état des lieux d’une réalité politique, et historique excellemment amenée, fort bien documentée, et surtout dénuée de tout jugement, et argument à l’emporte-pièce. Si cette fois-ci vous ne quittez pas la Suède, le lecteur est vite emporté par le tourbillon Sud-Africain.
J’ai aimé cheminer avec vous Commissaire ; j’ai pu apprécier votre fibre paternelle quand Linda était en danger, j’ai été rassurée de vous voir vous rapprocher de votre père. Sans en avoir l’air, vous fendez l’armure, jusqu’à rompre le câble même. J’espère sincèrement vous retrouver en meilleur forme dans de nouvelles aventures, qui je n’en doute pas, sauront me faire passer de délicieux moments de lecture.
@ Bientôt Commissaire, et soignez vos bien !