Les bas-fonds du rêve - Poche

Laure Bataillon

(Traducteur)

,

Abel Gerschenfeld

(Traducteur)

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Claude Couffon

(Traducteur)

Note moyenne 
Juan Carlos Onetti - Les bas-fonds du rêve.
Coups d’éclat et coups de gueule, joutes pour rire qui débouchent sur la mort, feux de la rampe braqués l’espace d’un soir sur un champion... Lire la suite
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Résumé

Coups d’éclat et coups de gueule, joutes pour rire qui débouchent sur la mort, feux de la rampe braqués l’espace d’un soir sur un champion déchu, une courtisane défraîchie : les personnages de Juan Carlos Onetti sont ceux des tangos populaires que l’on fredonne en Uruguay, en Argentine. Minables héros d’une aventure frelatée avant d’être vécue, ils ont pour rendez-vous Santa Maria. Santa Maria : c’est dans cette ville imaginaire, quintessence de la vie provinciale, que se déroulent la plupart des romans et des nouvelles qu’Onetti à écrits tout au long de sa vie.
Santa Maria : labyrinthe parcouru de fantômes voraces, hanté de rêves sordides, paradis des affaires véreuses, carrefour des tripots, terre promise de la supercherie, glorieuse de désirs inassouvis qui tuent ses habitants aussi sûrement que l’alcool qui y coule à flots. Santa Maria, c’est Montevideo ou Buenos Aires, où échouent les errants du monde entier en quête de fortune, d’identité, d’oubli.
Ecoutez cette voix poignante qui raconte avec une pitié pudique et une pointe d’humour noir l’angoisse quotidienne, le spleen et les médiocres joies du petit peuple : elle colle à la mémoire comme un air de bandonéon. Traduit de l’espagnol par Laure Guille-Bataillon, Abel Gerschenfeld et Claude Couffon.

Caractéristiques

  • Date de parution
    23/05/2012
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-07-013791-6
  • EAN
    9782070137916
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    353 pages
  • Poids
    0.359 Kg
  • Dimensions
    12,5 cm × 19,2 cm × 2,0 cm

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L'éditeur en parle

Coups d'éclat et coups de gueule, joutes pour rire qui débouchent sur la mort, feux de la rampe braqués l'espace d'un soir sur un champion déchu, une courtisane défraîchie : les personnages de Juan Carlos Onetti sont ceux des tangos populaires que l'on fredonne en Uruguay, en Argentine.

À propos de l'auteur

Biographie de Juan Carlos Onetti

Né en 1909 à Montevideo en Uruguay, Juan Carlos Onetti connaît une enfance heureuse. Il interrompt ses études et exerce de nombreux métiers avant de se consacrer au journalisme. En 1930, il se marie pour la première fois (il se mariera quatre fois !) et s'installe à Buenos Aires en Argentine. Contes et nouvelles commencent à paraître et il publie en 1939 son premier roman, Le puits. Il travaille pour l'agence Reuters, où il restera jusqu'en 1954.
En 1950 paraît La vie brève, premier volume du «cycle» de Santa María, une ville mythique aussi cruelle que fascinante, dans laquelle se perd l'homme moderne. Laisson parler le vent clôturera ce cycle en 1979. De retour à Montevideo, il se lie d'amitié avec Luis Batlle Berres, à qui il dédicacera Le chantier, et reçoit en 1962 le prix national de Littérature. Opposant à la dictature de Juan María Bordaberry, il est arrêté et emprisonné quelques mois en 1974, puis relâché après une campagne de protestations internationale ; il part s'installer à Madrid où il collabore au journal El País.
Il reçoit le prix Cervantès, la plus haute distinction littéraire en Espagne, en 1980. Malgré le retour de la démocratie en Uruguay, il décide de rester à Madrid et c'est dans cette ville qu'il meurt en 1994.

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