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Très intéressant de voir comment nos têtes blondes deviennent (sont...) des consommateurs et non plus des enfants ! Médias, jeux, alimentation et même scolarité ; tout est bon pour les attirer dans les filets de la sur-consommation.
Un bémol : l'ouvrage se focalise essentiellement sur la jeunesse nord-américaine (USA, Canada) et oublie le reste du monde. Il n'en reste pas moins fort dérangeant !
Une collection sympa d'imagier avec photos réelles des animaux les plus représentatifs pour chaque thème.
Une page photo et en regard un texte qui donne des informations sur l'animal : les enfants adorent !
Notre héros plante une jolie graine et attends... mais chaque jour, rien ne se passe. A-t-il bien regardé ?
Un oiseau qui surveille la plantation ne semble pas du même avis !
Nous sommes toujours aussi fan de l'univers de Christian Voltz.
Oui à chaud parce que si j'attends pour réfléchir aux sentiments que m'inspire cette histoire, je risque de ne plus savoir quoi dire...
En premier lieu, une belle écriture, forte, imagée, travaillée. Un bel exemple de littérature à mon sens.
Le roman : je suis partagée. Le dernier chapitre me donne l'impression d'avoir eu un Grand roman entre les mains. Mais certains passages me laissent un goût d'inachevé. J'ai parfois eu l'impression de me perdre dans des possibles ; de toucher du doigt quelque chose qui s'échappe.
Du coup ce dernier chapitre remet tout en question : sermon de
St Augustin sur la chute de Rome en 410, il fait écho à la chute du monde de Marcel (né de la Première Guerre Mondiale) et à celle du monde de Matthieu son petit-fils.
Ainsi ce goût d'inachevé n'est peut-être tout simplement que le goût de tous nos mondes qui s'achèvent... pour mieux renaître...
Pour son second roman campé à la fin du XIIè siècle en une société ou Foi et superstition se mêlent étroitement, Carole Martinez nous livre une histoire riche et merveilleuse.
Elle nous conte le destin d'Esclarmonde -qui pour échapper au joug des hommes choisie la vie de Recluse- et nous entraîne en un monde sensuel, spirituel voire mystique ou songes et réalités sont liés.
C'est aussi l'occasion d'aborder des sujets universels : la condition du "sexe faible", l'Amour (charnel, filial, de Dieu...), la Liberté et ses muselières ; cette part de rêve qui a disparu de notre quotidien
et qui nous manque assurément.
Nous savons que la mafia a une toile d'araignée gigantesque...et pourtant nous sommes encore loin de la réalité. Même après la lecture de Gomorra nous ne faisons qu'imaginer l'ampleur des dégâts ! Nous nous demandons jusqu'à quel niveau notre propre pays peut-être gangréné...
Le caméléon qui change de couleur sans cesse, se sent bien seul. C'est sans compter sur un vieux caméléon fort sage dont une proposition va changer leur vie.
MAEL Cet album est splendide ! Le travail d'illustration est magnifique : dessin et tissus assemblés.
L'histoire est drôle : automne arrive et ours veut lire. Mais il est dérangé par les animaux de la forêt qu'il se voit obligé de manger pour être tranquille...
J'aime toujours autant le style "scénaristique" de Barbara Constantine.
L'idée d'une auberge espagnole version 3è âge est plutôt sympa.
On retrouve la joie et l'émotion qui font la force de ses romans.
Malgré tout, je ne me suis pas laissée emporter comme dans ses précédentes histoires.
pas convaincu
Ouvrage destiné, à mon sens, à des couturières confirmées : pas/peu d'explications sur la réalisation des modèles, pas de patrons. Surtout les sacs proposés ne m'ont pas plu plus que ça... même en les imaginant dans d'autres tissus ou matières.