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À découvrir
Ce n'est pas parce que des chapitres s'intitulent "Velvet Underground" ou "Led Zeppelin" qu'il faut se pâmer devant ce livre ou en chercher un intérêt quelconque . C'est un récit purement anecdotique, artificiel, peu intéressant et n'y cherchez surtout pas autre chose que des souvenirs ennuyeux d'une jeunesse "branchée" japonaise, pour qui la musique ne semblait pas vraiment ...si... vitale, en fait .
Pas comme chez certains .
P.S. : il n'y a pas d'analyse musicale sérieuse, malgré certaines apparences, notamment les titres de chapitres, qui sont des leurres. Bon, c'est vrai, il
n'y a pas que la musique qui compte dans ce livre (ni ailleurs) , mais pour le coup, tout le reste est quasi insupportable : allez , pour vous situer le niveau, vraiment au hasard, un exemple :
" ...je provoquai un éclat de rire général en affirmant que Janis Joplin pétait aussi rauque qu'elle chantait. Un des garçons cessa de rire et désigna l'entrée de la classe ...(les jolies filles ont le pouvoir de faire cesser les rires ; à l'inverse des laiderons qui sont une source inépuisable de rigolades sans fin) " ...
C'est pas "la Classe", çà, hummmm ?