« Le génie de la Bastille »… et du génie, l’auteur n’en manque pas en écrivant le dernier opus de cette trilogie magnifique des « Dames du faubourg ». La lecture est captivante et passionnante à souhait grâce à un style narratif incomparable dévoilant au lecteur la suite de la vie des familles d’artisans du Faubourg Saint-Antoine, qu’ils soient des artistes du bois ou bien d’autres corporations, à travers les siècles et au rythme de l’Histoire. Ce troisième volet nous fait donc parcourir les épisodes dramatiques et sanglants des révoltes sociales de 1830, 1848, en
passant par la Commune de Paris de 1870 et 1871. Les nouvelles générations de cette saga familiale vont traverser la monarchie de Juillet, le Second Empire pour se terminer en apothéose sous la 3e République, avec l’épanouissement de l’Art déco des années 1920 et l’Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes qui s’est tenue sur l’esplanade des Invalides à Paris d’avril à octobre 1925. Jean Diwo a voulu conclure en beauté cette épopée familiale et historique ambitieuse dont la reconstitution lui a demandé six années de travail pour condenser quatre siècles d’Histoire dans quelque mille six cents pages réparties dans les trois tomes de cette œuvre magistrale. Chapeau bas l’artiste !
Un final en apothéose !
« Le génie de la Bastille »… et du génie, l’auteur n’en manque pas en écrivant le dernier opus de cette trilogie magnifique des « Dames du faubourg ». La lecture est captivante et passionnante à souhait grâce à un style narratif incomparable dévoilant au lecteur la suite de la vie des familles d’artisans du Faubourg Saint-Antoine, qu’ils soient des artistes du bois ou bien d’autres corporations, à travers les siècles et au rythme de l’Histoire. Ce troisième volet nous fait donc parcourir les épisodes dramatiques et sanglants des révoltes sociales de 1830, 1848, en passant par la Commune de Paris de 1870 et 1871. Les nouvelles générations de cette saga familiale vont traverser la monarchie de Juillet, le Second Empire pour se terminer en apothéose sous la 3e République, avec l’épanouissement de l’Art déco des années 1920 et l’Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes qui s’est tenue sur l’esplanade des Invalides à Paris d’avril à octobre 1925. Jean Diwo a voulu conclure en beauté cette épopée familiale et historique ambitieuse dont la reconstitution lui a demandé six années de travail pour condenser quatre siècles d’Histoire dans quelque mille six cents pages réparties dans les trois tomes de cette œuvre magistrale. Chapeau bas l’artiste !