Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Philippe Diolé (1908-1977) passait dans les années 50, aux côtés d'un Georges Arnaud, d'un Lucien Bodard, pour le type même de l'écrivain-reporter...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
Philippe Diolé (1908-1977) passait dans les années 50, aux côtés d'un Georges Arnaud, d'un Lucien Bodard, pour le type même de l'écrivain-reporter inspiré : un peu baroudeur, un peu rêveur - en révolte secrète contre le monde. On peut regretter qu'il ait si peu frayé dans la voie de la fiction. L'un de ses romans en tout cas, L'Okapi (Gallimard, 1963), est devenu une sorte de livre-culte de la littérature aventureuse aux yeux d'une petite franc-maçonnerie de fervents inconditionnels. C'est ce livre que l'on voudrait faire lire aujourd'hui aux milliers de lecteurs qui l'on manqué... lesquels ont une chance qu'on leur envie : avoir encore à découvrir ce diamant noir, pur concentré de fièvre, de sensualité ravageuse et de mélancolie. Dans une Afrique qui en a fini avec l'innocence, une Afrique désormais à feu et à sang, dont l'homme blanc a mis à mort l'antique sauvagerie pour donner libre cours à une forme toute moderne de barbarie - la sienne -, cinq personnages taillent leur route en pleine brousse à la poursuite de quelques chimères... Une histoire du genre à mal finir.
Philippe Diolé (1908-1977) passait dans les années 1950, aux côtés d'un Georges Arnaud, d'un Lucien Bodard, pour le type même de l'écrivain-reporter inspiré : un peu baroudeur, un peu rêveur - en révolte secrète contre le monde. On peut regretter qu'il ait si peu frayé dans la voie de la fiction. L'un de ses romans en tout cas, L'Okapi (Gallimard, 1963), est devenu une sorte de livre-culte de la littérature aventureuse aux yeux d'une petite franc-maçonnerie de fervents inconditionnels. C'est ce livre que l'on voudrait faire lire aujourd'hui aux milliers de lecteurs qui l'on manqué... lesquels ont une chance qu'on leur envie : avoir encore à découvrir ce diamant noir, pur concentré de fièvre, de sensualité ravageuse et de mélancolie. Dans une Afrique qui en a fini avec l'innocence, une Afrique désormais à feu et à sang, dont l'homme blanc a mis à mort l'antique sauvagerie pour donner libre cours à une forme toute moderne de barbarie - la sienne -, cinq personnages taillent leur route en pleine brousse à la poursuite de quelques chimères... Une histoire du genre à mal finir.