Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Il faut lire ces lettres de Marcel Aymé réunies pour la première fois en volume. Outre de nombreuses informations sur sa création et sa carrière...
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Résumé
Il faut lire ces lettres de Marcel Aymé réunies pour la première fois en volume. Outre de nombreuses informations sur sa création et sa carrière littéraires qui lui firent fréquenter Anouilh, Barsacq, Brasillach, Emmanuel Bove, Crémieux, Derain, Paulhan, Queneau. Paraz, Varillon ou Vlaminck, elles précisent les relations qui l'ont uni au l'este de sa famille. Quatre figures apparaissent alors comme essentielles à la bonne compréhension du romancier : celle de sa tante Léa, celles de son frère et de sa sœur, Georges et Camille, ainsi que celle de Suzanne, sa plus jeune sœur. La première, mercière à Dole, dans le Jura, lui apporta beaucoup pour remplacer sa mère décédée alors qu'il n'avait que deux ans. Le Général Georges Aymé fut son agent littéraire, mais aussi un conseiller attentif, comme Camille, elle-même femme de lettres. Suzanne, de deux ans son aînée, fut une compagne de jeux et une confidente au début de sa vie. Prodigieuse famille que celle des Aymé-Monamy ! Issus de milieux populaires, ils ont connu une belle évolution sociale.