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marie desplechin
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double lecture
Verte a onze ans et se sent déjà différente : déjà, elle s'appelle Verte (Violette ou Rose, pourquoi pas, mais Verte !), elle n'a pas de papa, elle n'a pas que très peu d'amis et surtout....surtout....c'est une sorcière. Comme sa mère et sa grand-mère avant elle. Mais Verte ne veut pas être une sorcière : elle veut être "normale" et se marier. Sa mère Ursule désespère du destin que sa fille se réserve et du fait qu'elle n'a toujours fait preuve d'aucun talent magique. A onze ans ! C'est une catastrophe : Verte ne sera donc jamais la grande sorcière qu'Ursule voulait qu'elle soit
!
Heureusement, dans la vie de Verte, il y a son meilleur ami, le gentil et beau Soufi, et sa grand-mère fantasque, Anastabote. Grâce à eux, Verte connaît ses premiers émois adolescents (amicaux, familiaux, amoureux, identitaires).
Marie Desplechin nous offre ici une belle parabole sur la différence et sur le passage de l'enfance à l'adolescence : comment vivre dans une famille monoparentale ? Comment grandir sans père ? Comment faire face à toutes ces émotions qui nous submergent ? Comment faire pour s'intégrer ?
L'auteur pose toutes ces questions et de nombreuses autres dans ce court roman, plein d'humour, de tendresse et de magie. Loin d'en donner les réponses, de donner un avis tranché ou moralisateur, Marie Desplechin ouvre la porte à la tolérance et à la différence.
Une plume fluide, légère, agréable et vive. On rit, on s'émeut. La structure du roman en 4 parties (Ursule, Verte, Anastabote, Soufi) est intéressante et on prend un plaisir infini à découvrir l'histoire selon les points de vue de Verte, Ursule, Anastabote et Soufi .
"Verte" peut rester aussi tout simplement un joli conte magique, sans forcément lui donner cette double lecture. Quelques grammes de douceur dans ce monde de brutes. Ce roman ravira petits et grands ! Jouissif !
Un conte d'aujourd'hui
Verte a onze ans et se sent déjà différente : déjà, elle s'appelle Verte (Violette ou Rose, pourquoi pas, mais Verte !), elle n'a pas de papa, elle n'a pas que très peu d'amis et surtout....surtout....c'est une sorcière. Comme sa mère et sa grand-mère avant elle. Mais Verte ne veut pas être une sorcière : elle veut être "normale" et se marier. Sa mère Ursule désespère du destin que sa fille se réserve et du fait qu'elle n'a toujours fait preuve d'aucun talent magique. A onze ans ! C'est une catastrophe : Verte ne sera donc jamais la grande sorcière qu'Ursule voulait qu'elle soit !
Heureusement, dans la vie de Verte, il y a son meilleur ami, le gentil et beau Soufi, et sa grand-mère fantasque, Anastabote. Grâce à eux, Verte connaît ses premiers émois adolescents (amicaux, familiaux, amoureux, identitaires).
Marie Desplechin nous offre ici une belle parabole sur la différence et sur le passage de l'enfance à l'adolescence : comment vivre dans une famille monoparentale ? Comment grandir sans père ? Comment faire face à toutes ces émotions qui nous submergent ? Comment faire pour s'intégrer ?
L'auteur pose toutes ces questions et de nombreuses autres dans ce court roman, plein d'humour, de tendresse et de magie. Loin d'en donner les réponses, de donner un avis tranché ou moralisateur, Marie Desplechin ouvre la porte à la tolérance et à la différence.
Une plume fluide, légère, agréable et vive. On rit, on s'émeut. La structure du roman en 4 parties (Ursule, Verte, Anastabote, Soufi) est intéressante et on prend un plaisir infini à découvrir l'histoire selon les points de vue de Verte, Ursule, Anastabote et Soufi .
"Verte" peut rester aussi tout simplement un joli conte magique, sans forcément lui donner cette double lecture. Quelques grammes de douceur dans ce monde de brutes. Ce roman ravira petits et grands ! Jouissif !