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Jenn Bennett
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Editions DivaRomance
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1928
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Les ombres sinistres
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série Au Coeur des années folles
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égyptologie
Avec soulagement, nous réalisons que le Tome 2 (Les ombres sinistres) possède une belle cohérence avec le Tome 1 de cette même série (Au cœur des années folles), ce qui permet au lecteur de s'y retrouver et de ne pas être perdu. Notamment au niveau de l'écriture, toujours aussi rythmée et addictive. Jenn Bennett écrit donc toujours aussi remarquablement bien, ce qui permet de regrouper les deux histoires et de se rendre compte d'une certaine fluidité qui permet au lecteur de ne pas oublier les personnages, les lieux, l'époque et les intrigues précédentes ; pour mieux les retrouver
par la suite. Mais ce second tome peut tout aussi bien se lire séparément.
En revanche, les points négatifs sont néanmoins toujours les mêmes que dans le premier livre de l'auteure, comme si elle n'avait pas rectifié le tir... Par exemple, le personnage de Hadley Baccall, la responsable des Antiquités du Musée et celui de Lowe Magnusson, le frère escroc de Winter, tombent tous deux dans le cliché de l'apparence (comme ce fut le cas entre Aida la médium et Winter, le contrebandier). La femme répond aux critères de la créature fragile qui, malgré son fort caractère et sa froideur, finit par tomber éperdument sous le charme d'un insupportable bel homme plein de muscles (portrait de son frère en blond...). On retrouve d'ailleurs de torrides scènes de sexe qui n'ont cessé d'enflammer le premier Tome et qui raviront, une fois encore, les lectrices amatrices de romances érotiques !
Qui plus est, certains passages surnaturels ne tiennent pas la route et ridiculisent un peu le roman, en dépit d'un vif intérêt pour les artefacts égyptiens qui donnent envie de voyager au Caire et de se passionner pour l'égyptologie ! Cette culture aurait donc été d'autant plus passionnante si des apparitions violentes et mal expliquées, n'étaient pas venues discréditer la lecture...
Enfin, comme ce fut le cas avec Les esprits amers, la fin de ce deuxième tome est quelque peu décevante. Après de nombreux rebondissements, des scènes torrides qui aboutissent à une histoire passionnelle, la poursuite haletante d'objets magiques, la fureur de forces occultes et la révélation d'un lourd secret de famille, on découvre une fois encore que Jenn Bennett ne savait pas bien comment terminer son histoire... Si l'on soupçonne tout au long de l'intrigue, que le personnage gentil et en détresse n'est peut-être pas aussi innocent que cela et qu'il risque sans cesse d'y avoir un retournement de situation, ce n'est pas le cas ; mais la surprise n'est pas totale pour autant.
La fin est lourde, empâtée et tourne en rond. Il n'y a pas d'ouverture sur le dernier tome, Les fantômes austères, comme ce fut le cas dans le précédent roman ; ce qui donnait une irrépressible envie de courir lire la suite ! C'est dommage, mais cela n'empêche pas le lecteur d'avoir envie de dévorer le final de cette série historique, qui sera cette fois concentré sur le dernier membre de la famille Magnusson. Après les deux frères, respectivement contrebandier et archéologue, c'est au tour de la sœur, Astrid, d'être confrontée à des fantômes proches de zombies...
En un mot, Les ombres sinistres de Jenn Bennett est une addictive romance historique, très bien écrite, avec une trame pleine de suspense et de profondeur, permettant au lecteur d'en apprendre beaucoup sur l'égyptologie. Les personnages sont charismatiques et le dépaysement garanti, sur la côte ouest, en pleines années 20 ! À dévorer pour les lecteurs (et surtout lectrices) amateurs de sensations fortes, de mystères haletants, d'égyptologie, de sexe, mais aussi d'une écriture ténue et de voyages historiques...
Une suite addictive : entre égyptologie et histoire passionnelle !
Avec soulagement, nous réalisons que le Tome 2 (Les ombres sinistres) possède une belle cohérence avec le Tome 1 de cette même série (Au cœur des années folles), ce qui permet au lecteur de s'y retrouver et de ne pas être perdu. Notamment au niveau de l'écriture, toujours aussi rythmée et addictive. Jenn Bennett écrit donc toujours aussi remarquablement bien, ce qui permet de regrouper les deux histoires et de se rendre compte d'une certaine fluidité qui permet au lecteur de ne pas oublier les personnages, les lieux, l'époque et les intrigues précédentes ; pour mieux les retrouver par la suite. Mais ce second tome peut tout aussi bien se lire séparément.
En revanche, les points négatifs sont néanmoins toujours les mêmes que dans le premier livre de l'auteure, comme si elle n'avait pas rectifié le tir... Par exemple, le personnage de Hadley Baccall, la responsable des Antiquités du Musée et celui de Lowe Magnusson, le frère escroc de Winter, tombent tous deux dans le cliché de l'apparence (comme ce fut le cas entre Aida la médium et Winter, le contrebandier). La femme répond aux critères de la créature fragile qui, malgré son fort caractère et sa froideur, finit par tomber éperdument sous le charme d'un insupportable bel homme plein de muscles (portrait de son frère en blond...). On retrouve d'ailleurs de torrides scènes de sexe qui n'ont cessé d'enflammer le premier Tome et qui raviront, une fois encore, les lectrices amatrices de romances érotiques !
Qui plus est, certains passages surnaturels ne tiennent pas la route et ridiculisent un peu le roman, en dépit d'un vif intérêt pour les artefacts égyptiens qui donnent envie de voyager au Caire et de se passionner pour l'égyptologie ! Cette culture aurait donc été d'autant plus passionnante si des apparitions violentes et mal expliquées, n'étaient pas venues discréditer la lecture...
Enfin, comme ce fut le cas avec Les esprits amers, la fin de ce deuxième tome est quelque peu décevante. Après de nombreux rebondissements, des scènes torrides qui aboutissent à une histoire passionnelle, la poursuite haletante d'objets magiques, la fureur de forces occultes et la révélation d'un lourd secret de famille, on découvre une fois encore que Jenn Bennett ne savait pas bien comment terminer son histoire... Si l'on soupçonne tout au long de l'intrigue, que le personnage gentil et en détresse n'est peut-être pas aussi innocent que cela et qu'il risque sans cesse d'y avoir un retournement de situation, ce n'est pas le cas ; mais la surprise n'est pas totale pour autant.
La fin est lourde, empâtée et tourne en rond. Il n'y a pas d'ouverture sur le dernier tome, Les fantômes austères, comme ce fut le cas dans le précédent roman ; ce qui donnait une irrépressible envie de courir lire la suite ! C'est dommage, mais cela n'empêche pas le lecteur d'avoir envie de dévorer le final de cette série historique, qui sera cette fois concentré sur le dernier membre de la famille Magnusson. Après les deux frères, respectivement contrebandier et archéologue, c'est au tour de la sœur, Astrid, d'être confrontée à des fantômes proches de zombies...
En un mot, Les ombres sinistres de Jenn Bennett est une addictive romance historique, très bien écrite, avec une trame pleine de suspense et de profondeur, permettant au lecteur d'en apprendre beaucoup sur l'égyptologie. Les personnages sont charismatiques et le dépaysement garanti, sur la côte ouest, en pleines années 20 ! À dévorer pour les lecteurs (et surtout lectrices) amateurs de sensations fortes, de mystères haletants, d'égyptologie, de sexe, mais aussi d'une écriture ténue et de voyages historiques...