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Ici, ce sont les saisons, d'abord, qui remodèlent le vivant. La puissance de la nature, la fragilité des humains. Et la mort du père, dont il faut maintenant liquider les affaires en faisant des boîtes. Tout doit partir est un vaste petit livre. Il contient des vies, il est débordé par le fleuve. Il a la beauté terrible du temps qui passe comme le vent, coupable d'érosion. On s'y burine. On se perd dans le paysage.
On s'y retrouve.