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"Mirza", "Le Sud", ou encore "Le Téléfon" : qui n’a jamais fredonné les airs entêtants ou repris les paroles de ces chansons devenues au fil des années des titres cultes ? On a souvent prêté à Nino Ferrer le costume du chanteur rigolo et de l'amuseur à la mode, alignant les succès populaires avec une facilité beaucoup trop déconcertante pour être crédible. Et pourtant, si sa notoriété s'est construite sur un répertoire musical prétendument léger et dansant, ce sont ses textes plus noirs, souvent ironiques et provocateurs, mais moins connus, qui s’accordaient le mieux à son tempérament imprévisible et entier.
Ainsi en est-il de ce texte inédit, "Salut Barberine", texte inédit et récit d’une histoire d'amour impossible entre le narrateur et le personnage de Barberine. Une histoire de larmes, de sexe, un rêve ou un cauchemar dans lesquels s’agitent les démons de la domination, de la dépendance et de la folie.
