Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Avant de devenir la Côte d'Azur, le pays des orangers entre Cannes et Menton était connu comme un vaste jardin. Les Anglais le découvrent dès le milieu...
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Avant de devenir la Côte d'Azur, le pays des orangers entre Cannes et Menton était connu comme un vaste jardin. Les Anglais le découvrent dès le milieu XVIIIe du siècle. Avec le train, la haute société européenne déferle sur la Côte et ses jardins de stations, ses jardins d'hiver.
Sous le Second Empire, Cannes et Nice s'entourent d'une couronne de parcs paysagers où l'on acclimate les plantes des tropiques.
Le XXe siècle marque la rupture avec le style Riviera : Harold Peto rêve d'Italie et d'Andalousie, Raffaele Maïnella de sculpture médiévale... Puis, on collectionne et on juxtapose les styles. A partir de 1910 s'affirme un jardin architecturé, anti-exotique. Ferdinand Bac redessine la Méditerranée, Blasco Ibanez compose un jardin de lecture, Lawrence Johnston crée un nouveau jardin. Pendant les années folles, l'internationale des architectes paysagistes et amateurs est sur la Côte.
On redécouvre le soleil, la couleur, le charme rural du Midi.
Le jardin de la Côte d'Azur devient jardin de printemps, d'été, pour la mer. Il s'exporte. Aujourd'hui, les amateurs cherchent des formes moins contraignantes, et trouvent de nouveaux thèmes de composition.