Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
On ne peut pas tout savoir lire : les relevés de température et les cours de Bourse.
Mais lorsque Simon Agassapion - Gus pour les intimes découvre...
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On ne peut pas tout savoir lire : les relevés de température et les cours de Bourse.
Mais lorsque Simon Agassapion - Gus pour les intimes découvre que de gros financiers se mêlent de vouloir faire coïncider les deux courbes, sans scrupule de la vie humaine, en envoyant à la morgue des dizaines d'innocents a priori en bonne santé, cela lui laisse un goût amer.
Gène de violence vu par la presse :
"Après le succès de son premier roman, Les herbes de Provence, Yann de l'Ecotais signe là un polar noir de noir." L'Amour des Livres.
"Yann de l'Ecotais a imaginé un personnage original et sympathique. Gus, pour les intimes, est un privé d'un genre nouveau. Plutôt fortuné et toujours décontracté, il exerce ses talents dans les quartiers branchés de la capitale, fréquente les intellos à la page et les milliardaires décapants ou décatis. Il y a chez Gas, un faux air de Marlowe à la française qui ne trompe pas. C'est à cause d'un blonde aussi avenante que délurée, que Gas se trouve embarqué dons une histoire qui sert de prétexte ou roman et lui donne surtout l'occasion d'encaisser quelques volées de gnons." Stéphane Bugat, Le Journal du Polar.
"Le récit se révèle un hommage à la littérature hard-boiled, où se télescope une myriade d'influences. Les ombres de Stacy Keach et Eddy Constantine s'acoquinent aux fantômes rigolards de Chandler, Cheney et Spillane, dans une ambiance décontractée façon Lautner-Audiard : dames guère farouches, barbouzes et silencieux, artiche à gogo, Paris et Côte d'Azur, références jazz (Jimmy Smith, Coltrane) et "Pulp" ajoutent de la saveur à cette dérive d'obédience voisine au Morgue pleine de Manchette." Laurent Hellebé, Mix.