Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Au cours d'un même week-end, deux assassinats endeuillent la prestigieuse université hébraïque de Jérusalem. Un jeune assistant de littérature est...
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Au cours d'un même week-end, deux assassinats endeuillent la prestigieuse université hébraïque de Jérusalem. Un jeune assistant de littérature est empoisonné par du monoxyde de carbone introduit dans ses bouteilles de plongée. Puis c'est le directeur du département de littérature, poète respecté et couvert d'honneurs, qui est retrouvé dans son bureau, battu à mort.
Pour le commissaire Ohayon, nul doute que ces meurtres sont liés. Au reste, il découvre assez vite les rivalités professionnelles, les jalousies amoureuses, les divergences littéraires qui marquent les rapports entre victimes et suspects.
La clef de l'énigme est au cœur de leurs œuvres, dans les rapports profonds et pervers que la création artistique entretient avec la passion du pouvoir.
Après le monde de la psychanalyse (Le Meurtre du samedi matin), celui de la musique (Meurtre au Philharmonique) et celui des kibboutz (Meurtre au kibboutz), Batya Gour poursuit, à travers une intrigue policière habilement montée, un tableau satirique et perspicace de la société israélienne d'aujourd'hui.