Les fleurs du mal - Suivies de Petits poèmes en prose, Curiosités esthériques, L'art romantique, Journaux intimes, La fanfarlo (extraits) - Poche

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Charles Baudelaire - Les fleurs du mal - Suivies de Petits poèmes en prose, Curiosités esthériques, L'art romantique, Journaux intimes, La fanfarlo (extraits).
Selon le voeu de Baudelaire, Les Fleurs du mal devaient s'intituler Les Limbes, ce lieu incertain où son désespoir hésitait entre le ciel et l'enfer,... Lire la suite
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Résumé

Selon le voeu de Baudelaire, Les Fleurs du mal devaient s'intituler Les Limbes, ce lieu incertain où son désespoir hésitait entre le ciel et l'enfer, entre un idéal de pureté et ce mal du siècle exaspéré qu'il nommait le Spleen. Partagé entre l'horreur et l'extase de vivre, dans cette oeuvre qui se confond avec sa vie, il a tenté de le repousser parle culte du Vice et des paradis artificiels, du Voyage et de l'Exil, de la Beauté, de la Volupté et de la, Mort. Dans ce livre atroce, j'ai mis tant mon coeur, toute ma tendresse, toute ma religion, toute ma haine ce livre dont le pouvoir d'enchantement semble, aujourd'hui encore, infini.

Caractéristiques

  • Date de parution
    23/07/2015
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-266-02945-2
  • EAN
    9782266029452
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    351 pages
  • Poids
    0.185 Kg
  • Dimensions
    11,0 cm × 18,0 cm × 1,3 cm

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À propos de l'auteur

Charles Baudelaire

Biographie de Charles Baudelaire

Né à Paris en 1821, orphelin de père dès 1827, Charles Baudelaire est un adolescent rêveur déjà atteint de " lourdes mélancolies ". Il lit beaucoup, admire les romantiques, se déclare disciple de Théophile Gautier et mène une vie de bohème à Paris. Affichant l'élégance d'un dandy, il s'éprend de l'actrice Jeanne Duval, sa " Vénus noire ", et compose les premières pièces des Fleurs du mal. Tour à tour journaliste, critique d'art (Salons, 1845, 1846, 1859) et de littérature, traducteur de l'Américain Edgar Allan Poe, il prend position en faveur des génies du siècle (notamment Eugène Delacroix ou Richard Wagner) et forge ainsi sa propre esthétique de la " modernité ". Il s'éteint à Paris en 1867.

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