En cours de chargement...
La première fois que j'ai vu Harwood j'étais à Kinshasa. La deuxième fois, j'étais en Sierra Leone en tant que correspondante de guerre. Puis, des années plus tard j'ai croisé son chemin en Irak et, chaque fois, dans son sillage, des corps de femmes violées, lacérées. Des meurtres mis sur le compte de " dommages collatéraux ". Alors j'ai su. Il s'est senti traqué. J'ai été séquestrée pendant trois jours.
Puis relâchée. Sans explication... Pour moi, il n'existait qu'un seul refuge possible pour tout oublier : un manoir isolé au cœur de la campagne anglaise. Je me demande encore comment j'ai pu être aussi bête.
Pas son meilleur livre mais histoire correcte
Connie Burns est correspondante de guerre pour l'agence Reuters.
Elle découvre que des meurtres sexuels sont commis de manière similaire dans différents endroits de guerre. Elle constate à chaque fois, la présence d'un mercenaire britannique embauché sous des identités différentes.
Il ne va pas apprécier qu'elle mène une enquête et va la kidnapper pendant 3 jours.
A sa libération, elle ne souhaite pas parler de ce qu'elle a subit et fuit à Barton House en pleine campagne.
Elle rencontre Peter le médecin local et de Jess, une femme mystérieuse, au passé douloureux, qui travaille dans sa femme voisine.
Ils vont se retrouver mêlés à son histoire quand le mercenaire psychopathe fait irruption à Barton House.
Bon livre même si ce n'est pas le meilleur livre de Minette Walters.
Le suspense n'est pas insoutenable et la fin est un peu décevante. Je m'attendais à une fin plus surprenante concernant le mercenaire.
L'histoire est dynamisée par sa construction, le récit est entrecoupé d'articles et d'échanges de mails.