Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Prince est détective privé. Avec Peler, son acolyte alcoolique qui a du flair, il préside aux destinées d'une agence baptisée pompeusement Mutual...
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Prince est détective privé. Avec Peler, son acolyte alcoolique qui a du flair, il préside aux destinées d'une agence baptisée pompeusement Mutual Investigation. Un soir, il découvre dans sa chambre une belle gosse qui l'attend et se propose de passer la nuit en sa compagnie. Le temps de se dévêtir et de prendre une douche, il retrouve la fille morte, la gorge tranchée. II alerte alors son assistant Pater et lui raconte sa mésaventure. Ils arrivent à la conclusion que l'assassin était caché clans l'appartement au moment où Prince y est rentré. Ayant acquis la certitude que jamais la police ne goberait une histoire pareille, ils décident de se débarrasser du corps. En examinant les ongles de la fille, ils en remarquent un, légèrement cassé, auquel est accroché un brin de fil blanc, et décident de le garder pour le faire analyser. Mais, au moment où ils s'apprêtent à franchir la porte avec le corps enveloppé dans le couvre-lit, quelqu'un sonne : un télégraphiste... Le Tueur aux gants blancs a paru pour la première fois en 1951 aux éditions Jacquier, à Lyon, dans la célèbre collection " la Loupe ", sous le pseudonyme de Cornel Milk. Après les récentes parutions des œuvres de jeunesse de Frédéric Dard, les Éditions Fayard ont décidé de rééditer les titres de ses ouvrages policiers parus sous pseudonymes.