Cersei, Brienne, Samwell, Arya, Jaime, Sansa, Alayne sont les « éclaireurs » de ce tome, auxquels s’ajoutent des chapitres uniques : Le Prophète, Le Capitaine des Gardes, La Fille de la Seiche, Le Chevalier souillé, Le Capitaine de Fer, Le Noyé, Le Faiseur de Reines, Le Ravisseur, Cat des Canaux et La Princesse en la Tour.
« Eh là, minute, papillon ! »… Je regrette de n’avoir pas lu la postface avant de me lancer dans la lecture de ce quatrième tome, l’auteur y explique que « les lecteurs seraient mieux servis par un livre qui leur conterait tous les événements concernant
une moitié des héros plutôt qu’une moitié des événements concernant l’ensemble des héros ». Répétant en cela une narration séparée comme Tolkien le fit avec son Seigneur des anneaux. C’est tout de même un peu horripilant (d’où la perte d’une étoile), mais bon, j’ai fait avec, ce tome se concentre donc sur les événements se déroulant à Port-Réal, la croisade des insulaires fer-nés, l’odyssée de Samwell en route pour la Citadelle de Villevieille dont on découvre quelques mystères, une nouvelle quête de Brienne partie à la recherche de Sansa, et Arya qui, acculée, quitte Westeros pour Braavos, une certaine pièce en poche… Cersei, de plus en plus ubuesque s’enlise dans une régence où plus rien ne vient brider sa folie, elle exerce une « terreur aveugle » et s’engouffre dans « des choix incohérents », cet exercice du pouvoir en jeu de massacre est assez plaisant, mais aussi très angoissant. « Sous l’influence conjuguée des rancunes et des ambitions politiques, désormais compliquées de mouvements populaires et mystiques, le royaume des Sept Couronnes ne cesse de s’enliser plus avant dans la guerre civile ». Finalement nous découvrons aussi la région de Dorne à l’extrême sud de Westeros, dont on a beaucoup entendu parler, et le roi de Lancehélion, inquiétant, faussement placide et d’une ruse tranchante. Certains joueurs ont été déquillés ? D’autres se tapissent et agissent déjà dans l’ombre.
A suivre dans le volume cinq, les événements le long du Mur avec Jon, et de l’autre côté de la mer avec Daenerys, et Tyrion ? et Bran… Scrogneugneu ! Scrogneugneu ! Scrogneugneu ! Scrogneugneu ! Si ce n'est pas la honte ça ! Découper en deux une histoire pareille, aiguisant ainsi notre gourmandise… Bon, le volume cinq est à portée de main (Pygmalion a divisé en trois volumes A Dance with Dragons, et il sort ce mois-ci, à ceux qui attende la version semi-poche et intégrale, rendez-vous en 2014 ! Et le tome 6 me direz-vous ? Voyons, restons calme, parution de A Feast for Crows en novembre 2005, parution du suivant en juillet 2011, soit cinq ans et demi d’attente… Snif, vivrai-je assez vieux ?
A Song of Ice and Fire. Livre quatre : A Feast for Crows.
Cersei, Brienne, Samwell, Arya, Jaime, Sansa, Alayne sont les « éclaireurs » de ce tome, auxquels s’ajoutent des chapitres uniques : Le Prophète, Le Capitaine des Gardes, La Fille de la Seiche, Le Chevalier souillé, Le Capitaine de Fer, Le Noyé, Le Faiseur de Reines, Le Ravisseur, Cat des Canaux et La Princesse en la Tour.
« Eh là, minute, papillon ! »… Je regrette de n’avoir pas lu la postface avant de me lancer dans la lecture de ce quatrième tome, l’auteur y explique que « les lecteurs seraient mieux servis par un livre qui leur conterait tous les événements concernant une moitié des héros plutôt qu’une moitié des événements concernant l’ensemble des héros ». Répétant en cela une narration séparée comme Tolkien le fit avec son Seigneur des anneaux. C’est tout de même un peu horripilant (d’où la perte d’une étoile), mais bon, j’ai fait avec, ce tome se concentre donc sur les événements se déroulant à Port-Réal, la croisade des insulaires fer-nés, l’odyssée de Samwell en route pour la Citadelle de Villevieille dont on découvre quelques mystères, une nouvelle quête de Brienne partie à la recherche de Sansa, et Arya qui, acculée, quitte Westeros pour Braavos, une certaine pièce en poche… Cersei, de plus en plus ubuesque s’enlise dans une régence où plus rien ne vient brider sa folie, elle exerce une « terreur aveugle » et s’engouffre dans « des choix incohérents », cet exercice du pouvoir en jeu de massacre est assez plaisant, mais aussi très angoissant. « Sous l’influence conjuguée des rancunes et des ambitions politiques, désormais compliquées de mouvements populaires et mystiques, le royaume des Sept Couronnes ne cesse de s’enliser plus avant dans la guerre civile ». Finalement nous découvrons aussi la région de Dorne à l’extrême sud de Westeros, dont on a beaucoup entendu parler, et le roi de Lancehélion, inquiétant, faussement placide et d’une ruse tranchante. Certains joueurs ont été déquillés ? D’autres se tapissent et agissent déjà dans l’ombre.
A suivre dans le volume cinq, les événements le long du Mur avec Jon, et de l’autre côté de la mer avec Daenerys, et Tyrion ? et Bran… Scrogneugneu ! Scrogneugneu ! Scrogneugneu ! Scrogneugneu ! Si ce n'est pas la honte ça ! Découper en deux une histoire pareille, aiguisant ainsi notre gourmandise… Bon, le volume cinq est à portée de main (Pygmalion a divisé en trois volumes A Dance with Dragons, et il sort ce mois-ci, à ceux qui attende la version semi-poche et intégrale, rendez-vous en 2014 ! Et le tome 6 me direz-vous ? Voyons, restons calme, parution de A Feast for Crows en novembre 2005, parution du suivant en juillet 2011, soit cinq ans et demi d’attente… Snif, vivrai-je assez vieux ?