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• loup-garous

C'est un vrai régal, on en redemande. C'est tout en humour et en élégance à l'anglaise qu'Alexia et son lord nous entraînent dans leurs aventures! Vivement la suite!

• Ennuyant

après de nombreuses critiques qui vantaient ce livre, j'ai commencé ma lecture en espérant que celui-ci me plaise autant qu' aux copines mais malheureusement, je me suis ennuyée durant toute l'histoire, pourquoi ? je ne sais pas trop mais j'ai pas du tout apprécié ce 1er tome et c'est bien dommage car l'histoire me parait supère bien écrite mais j'ai pas du tout accroché avec ces personnages.
Je ne sais même pas trop quoi dire à propos de cette histoire tellement j'ai peu accroché il me reste que très peu de points a développer.
L'intrigue policière, est surement très intéressante, mais la médiocrité de la lecture n'a pas permis que je puisse accrocher suffisamment (les disparitions et les apparitions des vampires et des loups-garous n'est à mon avis pas assez développées ).
Le cadre est pas mal travaillé car l'auteur a soigné la façon dont les créatures surnaturelles sont intégrées dans la société de l'époque. tout de même il y a pas mal de détails plaisants, mais on a déjà vu ça beaucoup de fois, il y a très peu de surprises en somme.
Les personnages, je les ai trouvé assez lourdingues et très peux attachants et c'est dommage car je trouve que L'auteur a trop stéréotypé ses personnages qui sont une caricature grossière des vampires ou loups garous malheureusement cela ne les rend plus du tout crédibles à mon gout bien sure
L'écriture, je la trouve trop "pompeuse " beaucoup trop gnan-gnan et ce surement du au style anglo saxon de ce roman.

En conclusion : une énorme déception pour moi et je ne lirais certainement pas les autres tomes de cette série qui je pense a énormément de potentiel mais qui ne s'adresse pas à mon genre de lecture tout simplement

J'avais beaucoup entendu parler de ce roman au sein de la blogosphère, en particulier du personnage d'Alexia Tarabotti, et j'étais fort intriguée. Nous sommes à Londres, au 19ième siècle, dans une réalité où cohabitent humains et créatures surnaturelles. Mademoiselle Tarabotti est une vieille fille de 26 ans, au caractère plus qu’affirmé qui l’entraîne, plus ou moins malgré elle, dans toutes sortes d’aventures rocambolesques. Mais elle a une autre particularité : c’est une para-naturelle. Parce qu’elle n’a pas d’âme, voyez-vous…

J’ai particulièrement apprécié l’époque et le lieu où se déroule cette histoire. Je n’avais aucune difficulté à imaginer notre héroïne en train de boire le thé - et de s’empiffrer, accessoirement -, dans un salon bourgeois en compagnie de ses tardifs prétendants. Alexia Tarabotti m’a fait sourire tout du long, c’est une jeune femme cultivée et curieuse, férue de bonnes manières - surtout celles des autres - et de science, et qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Charmante, et insupportable ! Les personnages secondaires sont tout aussi hauts en couleurs, de la meilleure amie loufoque au vieux vampire aux vêtements criards.

J’ai également aimé l’idée selon laquelle les conditions de vampire ou de loup-garou seraient liées à un excédent d’âme, j’ai trouvé ça original et sympathique. A contrario, j’ai regretté, en revanche, le manque d’explications concernant l’héroïne elle-même, et son absence d’âme. Quelles conséquences cela a-t-il sur elle au quotidien, en dehors du fait que cela neutralise les pouvoirs des créatures surnaturelles ? J’aurais aimé que cette partie soit plus développée, en lieu et place de la romance avec le comte de Woolsey par exemple.

La bit-lit est un genre qui m’ennuie généralement, pourtant Sans âme a su me charmer par une bonne dose d’humour et une héroïne hors du commun. C’est avec grand plaisir que je lirai la suite des aventures d’Alexia Tarabotti, une lecture agréable et fraîche, sans prise de tête.

Ecrit avec les pieds, traduit à la tronçonneuse. Ca minaude, ça s'extasie, mais ça reste complètement décoratif. Du vampire, du loup-garou, du carton-pâte époque victorienne, tout pour être à la mode. A part ça... Beurk.

Contrairement à beaucoup de monde, je n'ai pas tellement apprécié ce roman. Le problème le plus présent dans ce livre est qu'il est trop concentré sur la romance et c'est vraiment cela qui m'a ennuyé. L'univers est assez sympathique étant donné que j'apprécie beaucoup la société Victorienne mais, la bit-lit n'est vraiment pas mon fort...

Critique plus approfondie ici : http://plume-ivoire.overblog.com/sans-ame-gail-carriger

Miss Alexia Tarabotti n’a peut-être pas d’âme, mais elle ne manque certainement pas de personnalité ! Gail Carriger a créé une sacré héroïne qui n’a pas la langue dans sa poche, qui ne manque pas d’audace et qui ne se laisse pas arrêter par les conventions qui régissent son statut de vieille fille paranaturelle !
Nous sommes à Londres, sous le règne de Victoria Ière et en cette époque éclairée, les êtres « non-naturels » (vampires, loups-garous et fantômes) cohabitent avec la société diurne (les humains !).
Mais voilà, des vampires non enregistrés au Bureau du Registre des non-naturels apparaissent, tandis que des vampires et des loups-garous solitaires disparaissent. L’affaire est grave… et Miss Alexia Tarabotti s’y retrouve mêlée, plus ou moins de son plein gré, mais pour son plus grand divertissement.
Reçu dans le cadre de Masse Critique sur Babelio, en partenariat avec le Livre de Poche, j’ai pris un grand plaisir à lire ce roman. J’ai été gênée, pendant les premières pages, par la tournure des phrases, très ampoulée, tarabiscotée, un jeu de mot, une blague à chaque ligne… puis je m’y suis adapté et j’ai souvent souri à la lecture des joutes verbales entre Alexia et Lord Maccon, entre autre, ou les descriptions des exigences de la mode de l'époque.
Un petit bémol cependant sur la traduction. Je n’y prête pas attention d’habitude, mais là, il y a plusieurs phrases qui m’ont arrêté dans ma lecture, que j’ai du relire pour les comprendre, des pronoms dont j’ai eu du mal à repérer l’antécédent…
Bon, si les tomes 2 et 3 me passe entre les mains, je pense tout de même que j’y jetterai un petit coup d’œil ! (juin 2012)