Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dans la Cordillère des Andes, sur un de ces trains aux horaires incertains, quatre voyageurs manquent le bateau qui devait les conduire à Sydney
Leminhac,...
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Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Dans la Cordillère des Andes, sur un de ces trains aux horaires incertains, quatre voyageurs manquent le bateau qui devait les conduire à Sydney
Leminhac, jeune gloire du barreau parisien, et le docteur Tramier, de l'Académie de médecine, une " Russe de Moscou ", Marie Erikow, et un jeune peintre anglais, Robert Helven. Que faire à Callao, quand le prochain bateau ne part que dans trois semaines ? Compter sur le hasard ou sur la chance... L'Aventure s'offre à eux en la personne de Van den Brooks, marchand de cotonnades, qui propose de les mener à destination à bord de son yacht. L'homme est un gigantesque barbu, aux manières étrangement policées. Chacun se prend alors à rêver en secret d un voyage qui serait davantage qu'une simple promenade en mer... Tout est en place pour un roman d'aventures exotiques et maritimes.
Mais le périple réserve à nos héros d'autres incidents qu'une mer déchaînée, un naufrage dans des contrées sauvages. Le Cormoran a la structure d'un navire fait pour les longues traversées. L'intérieur ressemble à un palace, l'équipage est aussi étrange que le Maître du Navire. Les nuits du Pacifique sont belles, récits racontés à la veillée, langueur et rêves. Pourtant Van den Brooks se comporte avec ses marins comme un négrier...
Louis Chadourne (1890-1925) est né à Brive-la-Gaillarde. Blessé grièvement à la tête lors de la première Guerre mondiale, il a écrit toute la part romanesque de son œuvre entre 1919 et 1921.