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XXe siècle
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italie
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Branko
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Sonija
Branko, Hongrois en fuite, s’intègre dans un camp de réfugiés en Italie. Les Roms, les Tsiganes, les Gitans, les gens du voyage ; qu’ils soient bulgares, roumains, polonais, tchèques, leurs ennemis sont les mêmes : la police, la mairie, les services sociaux, les habitants, et eux-mêmes qui se querellent dans leur quotidien de misère. Cette vie de « passage », qui dure plusieurs années, voire une vie, est l’objet de tous les racismes et incompréhensions. Mis au ban de la société, indésirables et laissés-pour-compte, ils ne doivent pas troubler ni être vus des autochtones.
C’est
dans cet environnement hostile que Branko est mort. Et pourtant c’est lui qui nous raconte, de manière désordonnée, entre le présent, le passé et l’avenir, ce qui lui est arrivé. Progressivement, une vie prend forme, à la fois triste et envoûtante.
Dès son arrivée au campement, Branko capte la curiosité des enfants. Sonija, Ibrahim, les frères Hajdini, Ilma, tous ces enfants, issus de cultures différentes et parfois lointaines, n’ont connu que le camp. L’ancien ouvrier a voyagé avec dix cartons qu’il garde secret. Il a chargé les enfants de les cacher dans l’usine désaffectée à côté du campement, mais en échange, il doit leur raconter son histoire.
Chaque soir, ils se réunissent autour du poêle, luttant contre le froid et l’agression d’un univers qui ne leur est pas destiné. Avec pudeur, Branko se dévoile ; les enfants écoutent, d’abord sceptiques puis intéressés.
Lisez la suite de la critique sur mon blog :
http://bibliolingus.over-blog.fr/article-le-cirque-chavire-107810371.html
"Vous devez fermer les yeux et essayer d’imaginer"
Branko, Hongrois en fuite, s’intègre dans un camp de réfugiés en Italie. Les Roms, les Tsiganes, les Gitans, les gens du voyage ; qu’ils soient bulgares, roumains, polonais, tchèques, leurs ennemis sont les mêmes : la police, la mairie, les services sociaux, les habitants, et eux-mêmes qui se querellent dans leur quotidien de misère. Cette vie de « passage », qui dure plusieurs années, voire une vie, est l’objet de tous les racismes et incompréhensions. Mis au ban de la société, indésirables et laissés-pour-compte, ils ne doivent pas troubler ni être vus des autochtones.
C’est dans cet environnement hostile que Branko est mort. Et pourtant c’est lui qui nous raconte, de manière désordonnée, entre le présent, le passé et l’avenir, ce qui lui est arrivé. Progressivement, une vie prend forme, à la fois triste et envoûtante.
Dès son arrivée au campement, Branko capte la curiosité des enfants. Sonija, Ibrahim, les frères Hajdini, Ilma, tous ces enfants, issus de cultures différentes et parfois lointaines, n’ont connu que le camp. L’ancien ouvrier a voyagé avec dix cartons qu’il garde secret. Il a chargé les enfants de les cacher dans l’usine désaffectée à côté du campement, mais en échange, il doit leur raconter son histoire.
Chaque soir, ils se réunissent autour du poêle, luttant contre le froid et l’agression d’un univers qui ne leur est pas destiné. Avec pudeur, Branko se dévoile ; les enfants écoutent, d’abord sceptiques puis intéressés.
Lisez la suite de la critique sur mon blog :
http://bibliolingus.over-blog.fr/article-le-cirque-chavire-107810371.html