Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Ce roman, paru il y a trente ans, est le premier roman de Michèle Perrein. Il a conservé intacte sa force et sa vivacité. Pour sa réédition, Michèle...
Lire la suite
" Ce roman, paru il y a trente ans, est le premier roman de Michèle Perrein. Il a conservé intacte sa force et sa vivacité. Pour sa réédition, Michèle Perrein a ajouté une lettre, mêlant avec une habileté confondante les rôles d'auteur et de narrateur, le jeu littéraire et le récit autobiographiques. "
C. Desportes, Le Magazine littéraire.
" Une réédition qui mérite lecture, ou même relecture. Superbe bouquin, décidément qui, depuis 1956, n'a pas pris une ride. Un amour de roman, aussi, qui vous embarque dans l'adolescence presque adulte d'une jeune personne aux prises avec l'amour absolu. Qui n'existe pas, comme chacun sait. "
Danièle Weibel, Femina.
" Si les phrases courtes, têtues et cinglantes de " La Sensitive " révèlent aujourd'hui l'écrivain précurseur que fut Michèle Perrein en 1956, sa jeune fille annonce déjà la Rhada combative de " Comme une fourmi cavalière " et la Marthe insoumise des " Cotonniers de Bassalane ". Une certaine race de femmes conquérantes et de guerrières fragiles dont Michèle Perrein est à la fois l'auteur et, qui sait, peut-être le modèle...
Jérôme Garcin, L'Evénement du Jeudi.