Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Il me faut maintenant rendre justice à quelques-unes de mes sources et avouer de menus forfaits. Le plus souvent, on choisit un titre une fois le manuscrit...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
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Résumé
Il me faut maintenant rendre justice à quelques-unes de mes sources et avouer de menus forfaits. Le plus souvent, on choisit un titre une fois le manuscrit achevé. On hésite entre plusieurs
propositions dont aucune ne satisfait pleinement
l'auteur ou l'éditeur. Ici tout le contraire puisque c'est le titre d'un poème de Nikolaus Craigher de Jachelutta, Totengräbers Heimweh, mis en musique
par Franz Schubert, qui déclencha la gestation de La nostalgie du fossoyeur. Ces onze récits, nés dans l'indépendance et le désordre, ont peu à peu constitué un cycle dont le fil, sans le secours d'Ariane, tente de pénétrer le dernier labyrinthe. A quoi bon d'ailleurs le secours d'Ariane puisqu'il n'est pas prévu de retour ? J. B.
Julien Burgonde est le pseudonyme d'un médecin cancérologue et chercheur, directeur d'un centre de lutte contre le cancer. Il a publié un premier roman chez Actes Sud en 1991 : Icare et la flûte enchantée.