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À découvrir
Harold recoit une lettre d'une ancienne collègue et décide d'aller la voir mais Harold vit dans le sud de l'Angleterre et cette personne est dans le nord. Un long très long beaucoup trop long périple s'en suit....
Le livre est lent trop lent. En plus j'ai un défaut dans mon livre il me manque 20 pages.
Ce livre n'offre pas beaucoup d'intéret on s'ennuie un peu à sa lecture dommage l'idée de départ était bonne.
Quand Harold reçoit une lettre de Queenie lui annonçant sa terrible maladie, il s'en trouve bouleverse. Il décide de lui répondre mais en allant poster sa lettre, il continue son chemin en se lançant dans un veritable pelerinage jusqu'au chevet de son amie.
Au fur et a mesure de son périple, la vie d'Harold nous est dévoilée, ses relations tendues avec sa femme Maureen, son enfance douloureuse, ses difficultés a devenir père. Finalement c'est un homme terriblement malheureux qui s'en va.
Comme le titre l'indique cette lettre va véritablement bouleverser la vie d'Harold. On est
spectateur d'une vraie métamorphose non seulement physique mais aussi psychologique de ce retraite anglais. Cet homme qui a tout rate dans sa vie voit enfin la possibilité de faire du bien autour de lui, de se retrouver seul face a ses souvenirs et de réfléchir a ce qu'il veut vraiment pour la suite.
Très original, le héros n'en est pas un puisqu'il nous apparaît lâche, égoïste, triste dans sa vie d'avant. Mais on a envie de marcher avec lui pour qu'il reprenne goût a la vie à travers ce pèlerinage initiatique et toutes ces belles rencontres en chemin.
A la lecture de cette histoire émouvante et joyeuse, des idées de grands défis nous trottent dans la tête et nous donnent un bon souffle d'énergie.
On prend un peu de temps avant de comprendre les réelles motivations d'Harold et la nature de sa relation avec Queenie. Quand il entreprend de partir jusqu'au centre de soins palliatifs ou Queenie vit ses derniers jours on ignore a peu pres tout d'Harold a part qu'il est un retraite a la vie assez monotone. Il faut suivre Harold sur la route pour comprendre qu'est-ce qui le lie a Queenie, qu'est ce qui le separe de sa femme, Maureen et qu'est-ce qui l eloigne tant de son fils, David. Ses diverses rencontres avec des personnages de milieux differents vont forger un nouvel homme, avec une nouvelle vision du monde qui l'entoure.
Harold un jeune retraité reçoit un jour une lettre de Queenie une ancienne collègue/amie qui lui annonce qu'elle va mourir. Il va pour poster sa réponse et ne s'arrête finalement pas à la boite aux lettres en bas de sa rue et poursuit son chemin jusqu'au bureau de poste et finalement il continue de marcher et sort de la ville.... Quelque chose lui fait penser qu'il doit continuer de marcher et apporter lui même la réponse à Queenie à 1000 km. Il parcourt ce chemin sans rien (pas de téléphone...) car il est partie sur un coup de tête. Il pense que ce geste peut sauver son amie.
Pendant
tout le chemin, il réfléchit sur sa vie: son enfance, la rencontre avec sa femme, la relation qu'ils ont aujourd'hui, les rapports qu'il a eu avec son fils, sa vie professionnelle....
Mon avis:
S'il suffisait de marcher 1000 km pour sauver la vie d'une personne atteinte d'un cancer, je le fais tout de suite. On a envie d'y croire et on veut savoir s'il va arriver à temps et comment va se passer la rencontre avec Queenie qui n'a pas vu depuis 20 ans.
J'aime bien les livres où le personnage revient sur sa vie passée et prend conscience des erreurs de sa vie et des moments importants.
Voici un roman à la fois intéressant et divertissant.
Intéressant car il nous fait partager le voyage d'Harold, paisible retraité, qui décide sur un coup de tête de partir marcher. Mais sans doute y a-t-il aussi une explication plus profonde....
Divertissant car nous rencontrons, avec Harold, toutes sortes de personnages le coeur sur la main ou un peu loufoque. L'humanité, en quelque sorte.
Sans oublier la femme d'Harold (non, pas Maud), Maureen. Ménagère pête-sec au départ, elle s'adoucit au fil des pages pour finir par comprendre et encourager la marche de son mari.
Seule
Queenie reste dans l'ombre, son personnage et son histoire ne se dévoilant que par petites touches.
Au final, un roman plein d'optimisme sur les vertus de la marche et la force de l'amour.
L'image que je retiendrai :
Celle des chaussures bateaux d'Harold, qui à grand renfort de scotch, tiennent le long des 1 000 kilomètres.
Harold Fry, à la retraite depuis quelques mois, ne sort pratiquement plus de chez lui. Pourtant, un matin, une lettre reçue d'une ancienne collègue, et amie, le pousse jusqu'à la boîte aux lettres pour lui poster sa réponse. Il est remué par l'état de Queenie qui lui écrit qu'elle est dans un établissement de soins palliatifs. Harold, ne sachant trop que répondre, et remâchant des souvenirs, prend la route, sans préparation, sans équipement, pour parcourir les huit cents kilomètres qui le séparent de Queenie. Du sud au nord de l'Angleterre, il longe les routes qu'il parcourait
autrefois pour son travail, s'éloigne de sa femme Maureen, de son fils David, de l'absence de communication qui règne dans son foyer. Au fur et à mesure du chemin parcouru, il réfléchit, se souvient, change, tout en restant attaché à ce qui l'a accompagné dans les premiers jours de marche, comme ses chaussures de bateau bien peu taillées pour la route. Même si on est d'emblée persuadé qu'il atteindra son but, c'est plus le parcours intérieur que l'odyssée d'Harold Fry qui est intéressant.
J'ai été un peu partagée tout au long de la lecture de ce livre. Agacée par les bons sentiments, les rencontres qui s'accumulent gentiment, les personnages qui évoluent comme on s'y attendait, je ronchonnais intérieurement sur les ficelles un peu trop grosses. En même temps enveloppée par la chaleur et la tranquille obstination d'Harold Fry, je n'ai pas pu lâcher le livre avant de l'avoir terminé. Ce roman ne changera pas la face du monde, ni celle de la littérature, mais si vous avez envie de passer un bon moment avec des personnages attachants, pourquoi pas ?
Pèlerinage
Un roman qui commence comme une farce : Recevant une lettre d'une ancienne collègue, Harold Fry décide d'envoyer une réponse par courrier. Seulement voilà, arrivé à la boite aux lettres, il décide de marcher un peu et d'aller à la suivante...le début d'un périple à travers toute l'Angleterre !
Au fur et à mesure de cette marche, l'histoire d'Harold se dévoile par petites touches. L'humour est sans cesse présent, notamment à travers l'engouement que déchaîne ce pèlerinage très vite médiatisé, mais le chemin qu'emprunte Harold pour aller rendre visite à Queenie est surtout un cheminement intérieur.Sonné par la nouvelle de la maladie de Queenie, il prend enfin à soixante ans passés le temps de passer les événements importants de sa vie en revue et notamment les plus douloureux qui vont lui permettre de rentrer chez lui.