Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Il faut avoir vécu une grande garde, l'avoir vécue seul, dans un chaos de sirènes, de sonneries, d'éclairs. Seul, dans la caisse de résonance des...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
" Il faut avoir vécu une grande garde, l'avoir vécue seul, dans un chaos de sirènes, de sonneries, d'éclairs. Seul, dans la caisse de résonance des urgences, le bruit des voitures, des chariots, dans les lumières blessantes des néons et des gyrophares... Lire dans les yeux des malades, comme on lit dans les mains, leur avenir, leur chance pour les douze heures de la nuit. Il faut savoir déchiffrer les destins dans les chairs, les entrailles. Il faut être plus que médecin. " Un interne en neurochirurgie, médecin sans vocation, observe la chorégraphie mécanique des urgences. Au centre, le professeur Vadas, maître de l'acte opératoire, tout en silences, en équilibre instable. Dans la nuit du bloc, il y aura un geste de trop. Plusieurs vies se figeront au rendez-vous de la grande garde. Après Blouse, insufflant à son livre la mélancolie rebelle de personnages cruellement décrits, Antoine Sénanque nous donne ici le roman de la faute.