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Peut-être les oiseaux de proie qui ont enfoncé leurs serres dans tes chairs, et qui pompent la moëlle de tes os, viendront-ils à bout de toi pour un jour, mais ta mort ne serait que momentanée, et tu revivras dans tes fils, dans cette nouvelle génération que portent tes flancs inépuisables, et qui grandit, comme tu grandis, pendant vingt ans sous Bonaparte, pour t'affirmer indompté ! Quoi qu'il en soit, ton oeuvre ne sera pas perdue.
Tu as posé la question révolutionnaire, la question politique et sociale, dans ses termes véritables, et toute question bien posée est résolue tôt ou tard. Grâce à toi aussi, le peuple a désormais son cri de ralliement : COMMUNE !