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Drôle
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Passionnant
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Eblouissant
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XVe siècle
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Londres
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Angleterre
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Henry IV
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John Falstaff
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Prince Hal
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Hotspur
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Owen Glendower
Henry IV est monté sur le trône après avoir déposé et fait assassiné son prédécesseur Richard II. Rongé par la culpabilité, il doit faire face à une rebellion de ses anciens alliés pendant que son fils et héritier s'amuse dans les tavernes londoniennes en compagnie d'individus peu recommendables.
Une révélation ! Je n'avais jamais lu 1H4 auparavant, parce que par principe je ne lis pas Shakespeare tant que je n'ai pas vu la pièce, mais la BBC a eu l'excellente idée de l'adapter à l'occasion des JO de Londres. J'ai beaucoup aimé le contraste entre ce roi torturé par le souvenir
de ses actions et l'insouciance dont fait preuve son héritier. Insouciance qui n'est que de façade, d'ailleurs : Hal est beaucoup plus soucieux de son image et de son avenir que ne se l'imagine son père.
À l'humour parfois un peu lourd et grivois de Falstaff et cie, j'ai préféré Hotspur, qui s'énerve à la moindre provocation : la scène où il tente d'expliquer à Owen Glendower comment les sciences fonctionnent est particulièrement savoureuse.
Peut-être pas toujours facile à appréhender, surtout pour un lecteur français qui manque de contexte historique, mais à découvrir.
Party like it's 1403
Henry IV est monté sur le trône après avoir déposé et fait assassiné son prédécesseur Richard II. Rongé par la culpabilité, il doit faire face à une rebellion de ses anciens alliés pendant que son fils et héritier s'amuse dans les tavernes londoniennes en compagnie d'individus peu recommendables.
Une révélation ! Je n'avais jamais lu 1H4 auparavant, parce que par principe je ne lis pas Shakespeare tant que je n'ai pas vu la pièce, mais la BBC a eu l'excellente idée de l'adapter à l'occasion des JO de Londres. J'ai beaucoup aimé le contraste entre ce roi torturé par le souvenir de ses actions et l'insouciance dont fait preuve son héritier. Insouciance qui n'est que de façade, d'ailleurs : Hal est beaucoup plus soucieux de son image et de son avenir que ne se l'imagine son père.
À l'humour parfois un peu lourd et grivois de Falstaff et cie, j'ai préféré Hotspur, qui s'énerve à la moindre provocation : la scène où il tente d'expliquer à Owen Glendower comment les sciences fonctionnent est particulièrement savoureuse.
Peut-être pas toujours facile à appréhender, surtout pour un lecteur français qui manque de contexte historique, mais à découvrir.