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À découvrir
Il est bien de retour !
L'histoire de Danny Torrence des années plus tard après les événements de l'hôtel ...
Danny est un homme maintenant, et ses pouvoirs sont toujours présents. Il lutte contre ses vieux démons pour s'accrocher à la vie. Et c'est bien ça, le fond de l'histoire, qui vous tiendra en haleine.
Je vous conseille vivement cette lecture pour de grands frissons !
Rien à voir avec le terrifiant shining mais il reste néanmoins une très bonne suite. Un peu tiré par les cheveux par moments.
L'ont retrouve un scénario inspiré et une écriture travaillée dans le pur style stephen king. Moins horrifique que shinning mais avec plus de rebondissements qui vous tiennent en haleine du début a la fin. de l'action, de l'émotion. Du fantastique-réaliste qui change de la vague love-story humain-monstre avec 3 scènes de sexe très explicite par livre que bibliovore et passionné de fantastique je rencontre de plus en plus souvent a mon grand regret.
A ne pas manqué
Y'en à marre, c'est pas possible!
Je ne sais quoi dire à ce sujet, mais King est énorme.
Ou va t il chercher toutes ces idées?
Le livre m'a beaucoup plus, on retrouve Dan , on s'attache aux personnages, et l'histoire est super bien tournée.
Hormis dire que j'ai vraiment adoré , je n'ai rien à rajouter.
SK est vraiment mon auteur favori, y'à pas à dire.
Pas le meilleur King, certainement pas à la hauteur de "Shining" dont il est la suite, mais néanmoins une histoire suffisamment aboutie pour qu'on est envie de reprendre son livre et de suivre l'étrange combat de la petite Abra et de Danny devenu grand, contre le clan du "Noeud vrai".
avant la lecture : évidemment la suite de Shining ça donne envie mais j'en attends beaucoup alors, une petite appréhension d'être déçue.
Le livre en lui même : un grand format, souple (j'aime beaucoup), des pages bien remplies mais séparées régulièrement par des paragraphes, du coup on peut s'arrêter à un moment opportun. Une belle couverture elle donne envie...
La 4èm de couverture : courte, droit au but, il faut vraiment lire ce livre!
Pendant la lecture : j'accroche avec l'écriture dès le début, rien de nouveau j'aime beaucoup cet auteur, et je retrouve les personnages
de Shining avec plaisir, j'en découvre d'autres qui me plaisent alors je dévore le livre.
Après la lecture : pas de déception, le livre est bon, et il est à la hauteur de la suite DE.
Une réussite.
Bonjour,en commençant ce livre j'étais enthousiaste à l'idée de retrouver le Dan Torrance de Shinning ainsi que Wendy et savoir comment ils avaient survécus.
Je dois avouer avoir était déçue,je pensais retrouver le Stephen King de la grande époque qui arrivait si bien a jouer avec nos frayeurs et nous faisait redouter de tourner la page suivante,mais je n'ai trouvé qu'un livre sur l'alcoolisme et l'hérédité. Bien sur il reste un excellent auteur,mais je pense que ce livre n'est pas son meilleur même si il y a quelques bonnes choses.C'est bien la première fois que je trouve l'un
de ces livres trop long.
A conseiller au fans.
Un peu de mal à me mettre dedans, mais au bout de quelques chapitre, la machine était partie !!!!!! Plus ont arrive sur la fin, plus ça devient prenant. Bref j'ai adoré une fois de plus.
Beaucoup considère le roman The Shining de Stephen King publié en 1977 comme l'oeuvre majeure de sa bibliographie. Ne nous le cachons pas, c'est surtout grâce à l'adaptation qu'en a fait Stanley Kubrick que les non-initiés de l'auteur l'ont connu. Celle-ci, véritable trahison envers son oeuvre dixit le maître et qui de surcroît, comme le dit à juste titre holden sur le webzine envrak.fr dans une excellente chronique, a eu, à la longue, tendance à phagocyter l'original dans les mémoires collectives.
Les autres, littéralement happés par ses romans qui ont revisité/revitalisé un
genre littéraire - l'horreur/L'épouvante/le fantastique considéré comme beaucoup comme un sous genre - et qui l'ont suivi un temps et le lisent encore pour certains aujourd'hui auront bien du mal à s'entendre sur l'une des ses nombreuses publications (56 livres à la fin de l'année 2013) pour en ressortir une du lot.
Malgré cela, et comme les fans de Bret Easton Ellis ont pu s'en réjouir en 2010 avec la publication de Suite[s] Impériale[s] 25 ans après son premier roman mythique Moins que Zéro, la suite d'un roman qui a fait de son auteur un écrivain éminemment lu demeure toujours un événement particulier, alors, lorsque nous parlons de l'un des auteurs vivants ayant le plus vendu à travers le monde (350 millions d'exemplaires), cet événement devient tout simplement un véritable buzz littéraire dont l'éditeur tentera, par tous les moyens dont il dispose, à accentuer la résonance.
Ainsi, le désir de l'éditeur français de Stephen King, Albin Michel, de faire le plus de bruit possible sur cet événement qui avait lieu à quelques encablures des fêtes de fin d'année, n'ayant eu d'égal que la très longue attente de ses plus grands fans français, bien aidé il est vrai par la décision de l'écrivain de venir à Paris pour la première fois assurer lui même la promotion de son dernier livre a engendré l'organisation presque inédite en Europe d'un véritable show à l'Américaine (il y a une certaine logique tout de même à recevoir un hôte de marque en adoptant ses mœurs) sorte de conférence/rencontre avec l'écrivain qui s'est déroulé au Grand Rex le 16 novembre dernier et dont vous pouvez retrouver la vidéo complète en cliquant sur le lien.
Vous l'avez compris je faisais partie de ces hordes de lecteurs et ayant fait la queue quelques heures (les places ne sont pas numérotées) et étant enfin assis à quelques rangs seulement de la scène, un exemplaire de Docteur Sleep offert par Albin Michel entre les mains et alors que le spectacle allait bientôt commencer, une question me vint à l'esprit en fixant cette magnifique couverture: Docteur Sleep sera-t-il à la auteur de tout ce remue-ménage ?
Lors de cette fameuse soirée, après avoir répondu aux questions d'Augustin Trapenard et de Maxime Chattam, le micro se balade dans le public permettant aux fans les plus courageux de poser une question à Stephen King. Peu ose s'y coller mais une jeune fille à quelques rangs de moi réclame tout de même le micro, trépignante d'impatience. Celle-ci, pleine d'émotion, visiblement très émue de le rencontrer, déclare que c'est le plus beau jour de sa vie. Elle a 16 ans.
Ses premiers lecteurs, adolescents au milieu des années 1970 ont aujourd'hui la cinquantaine bien tassée. Ainsi, le caractère intergénérationnel de son lectorat y est assurément pour beaucoup dans sa longévité. Evidemment Stephen n'ayant jamais arrêté d'écrire, il eut été intéressant de connaitre les livres préférés de ces toutes nouvelles recrues. Ses premiers romans y ont-ils encore autant de succès que ces publications plus récentes ? Je le pense sincèrement, et j'imagine bien cette jeune ado découvrir Stephen King en piochant dans la bibliothèque poussiéreuse de sa mère.
Pour revenir à Docteur Sleep, ces deux-là, qui se sont vu offrir gracieusement, comme moi, un exemplaire chacune du livre, ont à coup sûr des motivations différentes, peut-être l'une de connaitre ce qui a pu advenir du jeune Danny Torrance, l'autre de lire un bon roman fantastique avec une seconde lecture qu'elle ne retrouvait pas dans les young-adults books à la mode.
Car Docteur Sleep peut tout à fait se lire sans rien n'y connaitre de The Shinning, alors que je m'étais empressé, à défaut de relire le roman, d'au moins revoir son adaptation.
Les inconditionnels de The Shining seront surement déçus car point de huit-clos angoissant ou de nouvelle apologie de la peur dans Docteur Sleep mais une histoire, rappelant un autre roman du King, Charlie, où l’héroïne pourrait bien être la grande sœur d'Abra Stone dans Docteur Sleep.
Stephen King n'a pas perdu ce que je considère pour ma part comme une performance sans cesse renouvelée dans chacune de ses histoires, c'est cette capacité qu'il détient à créer des personnages empathiques, de savoir les installer en quelques pages de façon a priori anodine et avec qui le lecteur sera immédiatement disposé à accompagner tout le long d'un roman qui pour ce qui concerne Stephen King est tout de même souvent un gros pavé qui fait peur et cela même avant de l'attaquer.
L'on se délecte donc de retrouver Danny Torrance, qui a vaincu ses démons et va devenir le guide d'Abra possédant un shining ô combien plus puissant que le sien. Ces deux-là vont être au prise avec le Noeud-vrai, sorte de vampires modernes qui ne sucent pas le sang mais se nourrissent des émotions inhérentes à la mort (le 11 septembre 2001 fut ainsi un excellent millésime pour eux) ou des pouvoirs psychiques des enfants comme Abra et qui seraient très nombreux à travers le monde selon l'écrivain. Sur ceux-ci, Stephen King s'est encore surpassé en développant sans retenue ces personnages pourtant secondaires aux surnoms plus baroques les uns que les autres: Rosie Claque la meneuse de troupe, Papa Skunk, Sarey La Muette, Andi la piquouse, Phil Ampèt pour les rendre, au moins dans la première moitié du livre, encore plus effrayants.
Avec en filigrane, une réflexion sur l'alcoolisme et sur le déterminisme social, même si Docteur Sleep n'est pas la suite effrayante que certains attendaient, n'en n'est pas moins un bon Stephen King que l'on ne classera pas dans ses chefs-d'oeuvre au contraire de 22 11 63, autre publication de l'année 2013, que je ne tarderais pas à chroniquer. A très bientôt...
AL
http://blowawaydandelion.blogspot.com/2014/01/docteur-sleep-de-stephen-king.html?spref=tw …
Je ne mettrais pas ce livre dans le top 5 de mes préférés mais je ne l'ai pas détesté non plus. On retrouve Dan Torrance avec quelques années en plus et encore des problèmes et c'est bien pour les nostalgiques. L'histoire est nouvelle sans l'être puisqu'il y a beaucoup de recoupements. Stephen King a inventé une nouvelle sorte de méchants: les vampires c'est has been maintenant c'est le Nœud Vrai! Je le recommande aux fans du King mais pas forcément pour ceux qui voudront s'initier à sa littérature.
Je voulais savoir si ce genre avait des chances de me plaire, la réponse est clairement non. Pourtant, j'ai aimé certains aspects de ce roman et globalement le premier tiers m'a plu, sans doute parce qu'il n'est pas trop fantastique. Bien sûr, la jeune fille et Danny ont des pouvoirs mais ils sont intégrés à des scènes de la vie courante, ce qui m'a permis de m'accrocher à une trame plus ou moins réaliste. Danny et la jeune Abra sont touchants et le parcours de Danny chez les alcooliques anonymes est extrêmement bien détaillé. J'ai plutôt aimé l'écriture de Stephen King mais j'ai
eu l'impression qu'il s'amusait à être grossier, un peu comme le fait un enfant. Et comme beaucoup d'auteurs, quand il fait un petit jeu de mots, ici sur le prénom d'Abra, il se croît obligé d'appuyer dessus, ce qui a le don de m'agacer. J'ai vraiment cessé d'apprécier quand le groupe des camping-caristes prennent de l'importance car on bascule alors vraiment dans le fantastique. Je trouve pourtant que la façon qu'a Stephen King d'explorer le personnage de vampire est originale mais ce n'est juste pas pour moi.
Contrairement au film que beaucoup ont vu sans lire le roman, le livre « Shining » se termine alors que Danny, Wendy et Dick Hallorann ont pu s’échapper de l’hôtel avant son explosion. La dernière page nous dit que Danny et Wendy vivent avec Dick après la mort de Jack.
Partant de là, Stephen King a cherché à savoir ce qu’avait pu devenir Danny Torrance. Ayant grandi dans une famille atypique, dysfonctionnelle, il pouvait devenir délinquant, psychopathe, dépressif, violent… Tout était possible et il a laissé son imagination l’emmener à la rencontre de Danny, adulte, qui
à l’aide de ses pouvoirs surnaturels est devenu aide soignant, soulageant les malades en fin de vie.
Jusqu’à l’arrivée d’Abra Stone, le roman m’a semblé se trainer un peu. Plus de cents pages pour planter le décor, estomper les personnages, la trame… c’est long. Même sur un livre de six pages signé Stephen King.
Ensuite, le rythme s’accélère, l’intrigue prend forme et les interventions surnaturelles se multiplient. Stephen King réussit le tour de force de mêler à cette vie ordinaire des fantômes, des morts-vivants, le Don… tout en restant crédible (si, si) et passionnant. Ceci est à souligner car ceux qui me suivent savent combien je déteste les histoires de vampires. Mais estampillée King, ça n’a pas la même saveur, si j’ose dire.
Avec l’arrivée d’Abra, donc, Danny passe du rôle d’élève qu’il avait auprès de Dick Hallorann, à celui de mentor. Il sera pour elle une figure paternelle, rassurante et initiatique.
Comme dans les autres romans de King, on retrouve une description sans complaisance de la culture et de la vie américaines (des retraités qui sillonnent les Etats-Unis en camping-car / la mal bouffe / l’alcoolisme / l’ennui / les petites villes où tout le monde sait tout sur tout le monde…). On retouve bien sûr le thème de l’enfance d’un bout à l’autre ainsi que la confrontation entre le Bien et le Mal. Et par là, la violence qui en découle – dure même s’il ne décrit pas longuement de scène de torture.
De nombreuses citations parsèment aussi ce roman, de Shakespeare à Tolkien en passant par celles des publications des AA.
Je ne pense que ce soit son meilleur roman. « Shining », « Carrie », "Salem",« Le fléau »… ont plus de puissance et à l’époque de leur parution, avaient l’attrait de la nouveauté. Mais King sait indubitablement raconter une histoire et nous embarquer avec ses personnages dans un univers fantastique. Et ce roman abouti fera sans doute date. Une fois passée « l’introduction », on ne peut que se laisser mener par la main, là où il veut et ça fonctionne. On frémit, on pose des hypothèses, on a hâte de découvrir la suite… et les cinq pages s’avalent à toute vapeur, sans qu’on y pense.
Pas de coup de cœur mais un très bon moment de lecture avec ce thriller fantastique.
En me plongeant dans ce livre, je me suis demandée si vraiment une suite était nécessaire à Shinning. Je l'ai lu il y a de très nombreuses années mais je m'en souviens encore. J'avais peur d'être déçue. J'avais tort.
Après un moment où l'auteur s'attache à Danny et l'après Overlook, l'intrigue commence vraiment. Pourquoi Abra a-t-elle un lien puissant avec Danny ? Pourquoi lui et pas un autre ? Est-ce parce que lui aussi a un don exceptionnel ?
Quant à la bande d'affreux jojos qui en a après Abra, je n'aimerais pas du tout du tout les croiser au coin d'une rue en plein jour
et encore moins en pleine nuit. Les personnages secondaires sont particulièrement bien réussis et je me suis grandement attaché à eux : Billy, Concetta, Lucy, John et Dave.
Même si Docteur Sleep n'a pas la même intensité que Shinning, il s'agit d'une très bonne suite qui permet de boucler la boucle de l'histoire de Danny. Stephen King n'a rien perdu de son talent pour jouer avec nos peurs les plus primitives. Il y a longtemps que je n'avais pas frémi en lisant un livre et ce n'était pas parce que j'avais froid....
N'hésitez pas si vous voulez retrouver ce personnage qui nous a tant marqué.
Quel bonheur d'avoir une suite !
Quel Plaisir de retrouver l'univers de Shining et de savoir enfin ce qu'est devenu le petit Danny !
Le petit Danny a grandis et les épisodes de son enfance ont laissés des traces sur l'adulte qu'il est devenu.
Un roman sur la recherche de soi, l'acceptation de ses défauts, le tout sur un air des douze étapes des Alcooliques Anonymes.
Un roman qui aide aussi à relativiser, teinté de regrets, de monstres et de courage.
Un nouveau bijoux de Stephen King.