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"Cela aurait pu être une mort comme une autre". Cause du décès : excès de travail. Impossible me direz-vous. Et bien oui, c'est arrivé dans ce livre et il semblerait que le travail en soi la cause ou du moins c'est ce que se disent ce qui travaillaient comme elle sans arrêt, sans rien dire. Par un beau printemps, une brèche s'est ouverte dans la réalité sèche. Quelqu'un de discret, de bosseur, une extinction tout aussi discrète que surprenante, plus rien et presque plus aucune traces. Juste des heures à n'a n'en plus finir à comptabiliser, sans heurts et sans reproches, ni râles.
Que s'est-il passé ? A quelque uns de s'interroger et même d'aller plus loin, enfin du mieux qu'ils peuvent parce qu'ils habitent tous notre époque et que réagir n'est pas simple. Est-ce qu'une mort prouve quelque chose ? Comment la vie parfois peut-elle foutre le camp ? Confusion dans les rangs, les réseaux, on se ré-interroge, on cherche à comprendre et on regarde autour de soi, ce monde résolument contemporain. Est-ce que le jeu en vaut vraiment la chandelle ? Autour, on s'interroge sur la place laissée vacante et puis dans un deuxième cercle presque invisible au premier abord, gravite un chat, un peu de famille... C'est enfin la Roumanie d'aujourd'hui qui nous arrive par ce roman et étrangement, elle ressemble à notre pays et au monde qui devient le nôtre, on se tue de manière invisible et discrète à la tâche. qu'est-ce qui a bien pu se passer ? Moi aussi, j'ai été Miruna écrit une jeune femme, ici et puis là une autre, un autre encore aussi ici... et vous !? Une "conscience" sort d'une étrange léthargie. Travailler tue !? Attention talent ! Et un livre pas tout à fait innocent...
Travailler tue
"Cela aurait pu être une mort comme une autre". Cause du décès : excès de travail. Impossible me direz-vous. Et bien oui, c'est arrivé dans ce livre et il semblerait que le travail en soi la cause ou du moins c'est ce que se disent ce qui travaillaient comme elle sans arrêt, sans rien dire. Par un beau printemps, une brèche s'est ouverte dans la réalité sèche. Quelqu'un de discret, de bosseur, une extinction tout aussi discrète que surprenante, plus rien et presque plus aucune traces. Juste des heures à n'a n'en plus finir à comptabiliser, sans heurts et sans reproches, ni râles. Que s'est-il passé ? A quelque uns de s'interroger et même d'aller plus loin, enfin du mieux qu'ils peuvent parce qu'ils habitent tous notre époque et que réagir n'est pas simple. Est-ce qu'une mort prouve quelque chose ? Comment la vie parfois peut-elle foutre le camp ? Confusion dans les rangs, les réseaux, on se ré-interroge, on cherche à comprendre et on regarde autour de soi, ce monde résolument contemporain. Est-ce que le jeu en vaut vraiment la chandelle ? Autour, on s'interroge sur la place laissée vacante et puis dans un deuxième cercle presque invisible au premier abord, gravite un chat, un peu de famille... C'est enfin la Roumanie d'aujourd'hui qui nous arrive par ce roman et étrangement, elle ressemble à notre pays et au monde qui devient le nôtre, on se tue de manière invisible et discrète à la tâche. qu'est-ce qui a bien pu se passer ? Moi aussi, j'ai été Miruna écrit une jeune femme, ici et puis là une autre, un autre encore aussi ici... et vous !? Une "conscience" sort d'une étrange léthargie. Travailler tue !? Attention talent ! Et un livre pas tout à fait innocent...