ma chronique:http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/lettre-au-pere-franz-kafka.html
Le mot de la fin : Ce qui me bouleverse chez Kafka c’est sa capacité à retranscrire une douleur. Douleur partagée, bien qu’avec des expériences parentales différentes, mais ayant les mêmes aboutissements. En lisant cette souffrance difficilement exprimable, Franz permet de l’atténuer en la rendant un peu plus supportable. Il fait un peu de bien.
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Le mot de la fin : Ce qui me bouleverse chez Kafka c’est sa capacité à retranscrire une douleur. Douleur partagée, bien qu’avec des expériences parentales différentes, mais ayant les mêmes aboutissements. En lisant cette souffrance difficilement exprimable, Franz permet de l’atténuer en la rendant un peu plus supportable. Il fait un peu de bien.