La narratrice, Clodagh, âgée d'une trentaine d'années, retrace grâce au journal qu'elle a tenu une douzaine d'années auparavant, son passé tragique, son goût du risque. Les personnages sont attachants et ont tous en commun un événement dramatique. De l'énigmatique Wim, en passant par Liv, jeune suédoise devenue agoraphobe, Johnny, petit escroc, violent, Silver, qui semble le plus mature, tous ont été marqué et cultive le goût du risque en escaladant les toits. Certes, il n'y a pas de suspense insoutenable, pas de scène d'action, mais une étude subtile des rapports entre ces jeunes
gens vivant en marge de la société. L'auteur sait retenir notre attention, notamment à la fin de nombreux chapitre, au moyen d'une simple petite phrase qui suggère que quelque chose va arriver, nous incitant à poursuivre notre lecture. Et, en effet, on s'attend à ce qu'à un certain moment, un drame va se produire...
Une belle écriture, fluide qui porte le lecteur de page en page. J'ai lu ce roman presque avec avidité et ses 632 pages ont vraiment été un plaisir.
Excellent livre
La narratrice, Clodagh, âgée d'une trentaine d'années, retrace grâce au journal qu'elle a tenu une douzaine d'années auparavant, son passé tragique, son goût du risque. Les personnages sont attachants et ont tous en commun un événement dramatique. De l'énigmatique Wim, en passant par Liv, jeune suédoise devenue agoraphobe, Johnny, petit escroc, violent, Silver, qui semble le plus mature, tous ont été marqué et cultive le goût du risque en escaladant les toits. Certes, il n'y a pas de suspense insoutenable, pas de scène d'action, mais une étude subtile des rapports entre ces jeunes gens vivant en marge de la société. L'auteur sait retenir notre attention, notamment à la fin de nombreux chapitre, au moyen d'une simple petite phrase qui suggère que quelque chose va arriver, nous incitant à poursuivre notre lecture. Et, en effet, on s'attend à ce qu'à un certain moment, un drame va se produire...
Une belle écriture, fluide qui porte le lecteur de page en page. J'ai lu ce roman presque avec avidité et ses 632 pages ont vraiment été un plaisir.