-
Ironique
-
XXe siècle
-
humour
-
Surprenant
-
policier
-
Surréalisme
-
belgitude
«J’essaie de creuser le plus loin possible dans mon imagination pour rester originale parce que je n’aime pas ce qui est banal, ni dans la vie ni ailleurs. Pour moi, l’art c’est quelque chose qui doit continuer à étonner, à surprendre. Et puis j’ai toujours eu une fascination pour Magritte!» a écrit Nadine Monfils.
Et le pari est réussi ; ce roman est loin d’être banal !
Dans une région montagneuse un peu à l’écart du monde, des enfants disparaissent mystérieusement. Aucun témoin, aucun indice. Cela se corse encore quand les cadavres sont retrouvés, mis en scène
en imitant les tableaux de Magritte.
Entre polar noir et fable absurde, ce roman est inclassable. L’auteur rédige ici un roman policier surréaliste, très agréable à lire et dont l’intrigue subtil procure un vrai plaisir de découverte. On y retrouve l’univers que Nadine Monfils affectionne : les petites gens, les paumés et les vrais fêlés. Dans la foulée d’un Jean Ray ou d’un Scutenaire, Nadine Monfils inscrit son nom au palmarès des poètes belges surréalistes. En faisant de son tueur en série un amateur de Magritte, elle réussit l’alchimie entre horreur, fantastique et humour (parfois décapant). Un pur moment de bonheur surréaliste.
Surréalisme et humour
«J’essaie de creuser le plus loin possible dans mon imagination pour rester originale parce que je n’aime pas ce qui est banal, ni dans la vie ni ailleurs. Pour moi, l’art c’est quelque chose qui doit continuer à étonner, à surprendre. Et puis j’ai toujours eu une fascination pour Magritte!» a écrit Nadine Monfils.
Et le pari est réussi ; ce roman est loin d’être banal !
Dans une région montagneuse un peu à l’écart du monde, des enfants disparaissent mystérieusement. Aucun témoin, aucun indice. Cela se corse encore quand les cadavres sont retrouvés, mis en scène en imitant les tableaux de Magritte.
Entre polar noir et fable absurde, ce roman est inclassable. L’auteur rédige ici un roman policier surréaliste, très agréable à lire et dont l’intrigue subtil procure un vrai plaisir de découverte. On y retrouve l’univers que Nadine Monfils affectionne : les petites gens, les paumés et les vrais fêlés. Dans la foulée d’un Jean Ray ou d’un Scutenaire, Nadine Monfils inscrit son nom au palmarès des poètes belges surréalistes. En faisant de son tueur en série un amateur de Magritte, elle réussit l’alchimie entre horreur, fantastique et humour (parfois décapant). Un pur moment de bonheur surréaliste.