Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En septembre 1947, la Semaine d'art réunissait en Avignon une exposition de peinture, des concerts et trois créations dramatiques dirigées par Jean...
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En septembre 1947, la Semaine d'art réunissait en Avignon une exposition de peinture, des concerts et trois créations dramatiques dirigées par Jean Vilar. Sans le savoir naissait un Festival.
Car, au fil des années, l'expérience fut reconduite, favorisée par la municipalité et la population de la Cité des Papes. La Cour d'honneur de son palais fut promue temple du théâtre, la troupe de Vilar devint le TNP et Avignon le rendez-vous culturel de tous les étés. Puis Vilar lui-même invita d'autres compagnies, d'autres disciplines, d'autres publics, à mêler leur enthousiasme au bouillonnement du Festival. Du cloître des Carmes à la Chartreuse de Villeneuve, le site offrit d'autres lieux tout aussi historiques. Le festival " off " prit d'assaut les moindres coins de rue. Entouré de Gérard Philippe, de Maurice Béjart, de jeunes metteurs en scène, Vilar canalisait l'énergie de cette " foire ". Trois directeurs, depuis sa mort, ont continué et amplifié ses efforts pour que la fête continue.
Passionné de théâtre et historien du spectacle, Antoine de Baecque raconte le Festival, de 1947 à nos jours.
Sommaire
Des spectacles, des lieux, des acteurs, des maquettes de costumes, des affiches et des programmes : 160 documents illustrent les moments forts des cinquante premières années du Festival d'Avignon.