C’est l’histoire d’Elias, Elias quand il est jeune et Elias quand il est adulte. Quand il est jeune dans la maison de campagne que son père aimerait bien détruire pour construire une cathédrale à la place, ce père magnétiseur ou bien médium, en tout cas il soigne les blessures du feu. Ce père un peu cinglé sur les bords avec des idées farfelues plein la tête.
L’enfance d’Elias c’est une sorte de fièvre délirante sous l’emprise d’un homme en contact avec l’invisible, avec les ondes, avec les forces supérieures.
Et quand il est adulte, Elias, il est un peu bizarre,
avec des théories définitives qui occupent ses pensées, et il tombe amoureux Elias, il tombe amoureux d’Avril. C’est alors une comédie romantique un peu zinzin mais tout pleine de tendresse, d’écoute et de tentative de compréhension.
Autoportrait en chevreuil, c’est l’histoire d’Elias racontée par Elias adulte mais aussi comme si c’était écrit par l’enfant qu’il était, parce que c’est plein de ces petites théories définitives sur les choses sur la vie sur le monde sur les hommes et les femmes, parce que ça jette ce regard sur le passé comme si c’était encore aujourd’hui. Parce que c’est peuplé de géants et de fantaisie.
C’est donc une histoire d’enfant raconté par un enfant qui n’est plus un enfant mais qui a grandi comme un drôle d’hurluberlu, un peu bancal un peu cassé. Un peu foutraque un peu abîmé.
Un roman merveilleux parce qu’il est drôle parce qu’il est grave aussi. Un portrait d’adulte qui a grandi dans tous les sens et que tous ces sens ils ont un peu de mal à se positionner dans la réalité.
C’est ouvrir grand ses narines et respirer l’air d’un enfant emmagasiné dans les poumons d’un adulte.
C’est fabuleux comme histoire, vraiment fabuleux.
Totems et tabous
C’est l’histoire d’Elias, Elias quand il est jeune et Elias quand il est adulte. Quand il est jeune dans la maison de campagne que son père aimerait bien détruire pour construire une cathédrale à la place, ce père magnétiseur ou bien médium, en tout cas il soigne les blessures du feu. Ce père un peu cinglé sur les bords avec des idées farfelues plein la tête.
L’enfance d’Elias c’est une sorte de fièvre délirante sous l’emprise d’un homme en contact avec l’invisible, avec les ondes, avec les forces supérieures.
Et quand il est adulte, Elias, il est un peu bizarre, avec des théories définitives qui occupent ses pensées, et il tombe amoureux Elias, il tombe amoureux d’Avril. C’est alors une comédie romantique un peu zinzin mais tout pleine de tendresse, d’écoute et de tentative de compréhension.
Autoportrait en chevreuil, c’est l’histoire d’Elias racontée par Elias adulte mais aussi comme si c’était écrit par l’enfant qu’il était, parce que c’est plein de ces petites théories définitives sur les choses sur la vie sur le monde sur les hommes et les femmes, parce que ça jette ce regard sur le passé comme si c’était encore aujourd’hui. Parce que c’est peuplé de géants et de fantaisie.
C’est donc une histoire d’enfant raconté par un enfant qui n’est plus un enfant mais qui a grandi comme un drôle d’hurluberlu, un peu bancal un peu cassé. Un peu foutraque un peu abîmé.
Un roman merveilleux parce qu’il est drôle parce qu’il est grave aussi. Un portrait d’adulte qui a grandi dans tous les sens et que tous ces sens ils ont un peu de mal à se positionner dans la réalité.
C’est ouvrir grand ses narines et respirer l’air d’un enfant emmagasiné dans les poumons d’un adulte.
C’est fabuleux comme histoire, vraiment fabuleux.