Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Une série de drames s'est produite dans un chalet au cœur de la forêt canadienne. Les Ogden y reviennent pour la première fois depuis quatorze ans....
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Une série de drames s'est produite dans un chalet au cœur de la forêt canadienne. Les Ogden y reviennent pour la première fois depuis quatorze ans. Ils ont réuni un certain nombre d'invités dont Ronald Kincaid, joueur professionnel et aventurier. Une séance de spiritisme est organisée car Madame Ogden passe pour avoir des dons de médium. La plupart des participants sont sceptiques mais lorsque la séance commence, ce n'est que l'amorce d'une nuit de folie au cours de laquelle la logique et le bon sens seront mis à mal. L'action dure très exactement le temps d'une nuit de lecture, une nuit blanche bien sûr.
Ce roman mythique a connu plusieurs rééditions aux Etats-Unis. Il est publié en France pour la première fois.
" Le moins qu'on puisse dire est que Talbot n'a pas lésiné sur le matériau. Nous n'avons pas droit ici à un crime inexplicable, mais à sept, huit, dix impossibilités diverses (on ne les compte plus). Les morts qui reparaissent, les chambres closes, les pas qui s'arrêtent brusquement dans la neige, les assassins volants, les séances de spiritisme truquées ou non, les disparitions impossibles, c'est tout cela qui nous entraîne " au seuil de l'abîme ", et en une seule nuit. C'est un monde de maléfices et de merveilles dont la logique improbable s'épanouit pourtant avec une implacable rigueur au cours d'un dernier chapitre éblouissant qui se déroule, comble de bonheur, dans un train quelques jours plus tard. "
Claude Chabrol (extrait de la préface.)