Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
A vingt-trois ans, revenu de la guerre de 14-18, Antonin est le maître de La Bastide, le plus beau domaine du village cévenol de Cassagnettes. Un village...
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A vingt-trois ans, revenu de la guerre de 14-18, Antonin est le maître de La Bastide, le plus beau domaine du village cévenol de Cassagnettes. Un village dépeuplé, hélas, par les combats et par l'exode, qu'il s'emploie à faire revivre, remettant les terres en état, aidant le curé à retrouver des paroissiens... Les printemps se succèdent. La Bastide prospère, et Antonin regarde la petite Marilou qui devient belle. Mais peut-il trouver le bonheur sans rien savoir d'Adélaïde, sa mère, partie pour l'Afrique quand il avait onze ans, et dont il ne conserve que deux cartes postales ? Une valise retrouvée au grenier, les allusions des uns et des autres le ramènent à l'énigme de cette disparition. C'est la construction d'une nouvelle route, décidée par le maire de Malbosc, la commune voisine, qui va tout faire basculer... Avec la même verve, le même amour de la terre cévenole, Jean-Claude Libourel prolonge et achève la saga entamée dans Antonin Maillefer (prix des Maisons de la presse 1996) et poursuivie dans Les Roses d'avril.