Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" A quoi bon écrire l'histoire, si ce n'est pas pour aider ses contemporains à garder confiance en leur avenir et à aborder mieux armés les difficultés...
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Résumé
" A quoi bon écrire l'histoire, si ce n'est pas pour aider ses contemporains à garder confiance en leur avenir et à aborder mieux armés les difficultés qu'ils rencontrent quotidiennement ? " Préfacée par Jacques Le Goff, la nouvelle édition de cet entretien veut saluer ce message citoyen de Georges Duby.
Les gens qui vivaient il y a huit ou dix siècles n'étaient ni plus ni moins inquiets que nous. Angoissés par leur survie mais fascinés par l'étranger, violents mais solidaires, menacés par les épidémies et familiers de la mort, les hommes du Moyen Age vivent les crises les plus tragiques. Peur de la misère, de l'autre, des épidémies, de la violence et peur de l'au-delà. C'est à partir de nos peurs contemporaines que Georges Duby se penche sur celles du Moyen Age, qui singulièrement apparaissent comme les symptômes d'un monde en progrès. Et ce ne sont pas tant les similitudes que les différences qui sont riches d'enseignements. Ainsi, la solitude, qui accompagne la misère actuelle, était inconnue pour nos ancêtres de l'an mil.
A l'aube du troisième millénaire qui voit s'épanouir les prédictions les plus alarmistes, transformons " nos inquiétudes scandaleusement manipulées, en espoir et en essor, pour faire du XXIe siècle un siècle de progrès faisant écho à ceux du XIe siècle " ainsi que nous y invite Jacques Le Goff, avec Georges Duby.
Sommaire
Peurs médiévales, peurs d'aujourd'hui, un parallèle légitime ? La peur de la misère