Max a 9 ans, Max est dans son monde, Max est autiste.
Pour se sentir moins seul, face aux autres, face au monde qui l'entoure, Max a imaginé Budo, son ami imaginaire.
Budo a 5 ans, est capable de parler, de refléchir, d'agir. Budo est comme n'importe quel humain mais avec une petite particularité : il peut passer à travers les portes. Mais surtout, Budo est présent pour Max, il est à ses côtés tout le temps et le protège des autres.
C'est Budo qui nous raconte leur histoire, celle de Max, à l'écart des autres parce qu'il est différent, et la sienne, heureux d'être aux côtés
de Max mais avec la crainte de disparaître le jour où Max ne croira plus en lui...
Quand Max se fait kidnapper par sa maîtresse, Budo est le seul à voir l'enlèvement et le seul capable d'aider Max mais comment faire lorsqu'on ne vous voit pas ? Se tourner vers les autres amis imaginaires sera la première idée de Budo...
"Je m'appelle Budo", qui met en avant le grand pouvoir imaginaire des enfants, est un roman émouvant mais aussi plein d'humour et de suspense.
Une belle histoire d'amitié et de solidarité.
L'ami imaginaire
Budo et Max sont amis. Fait étrange, seul Max peut voir Budo. Ce dernier a été inventé par l'enfant, que l'on suppose atteint d'une forme d'autisme. Budo est toujours là quand Max a besoin de parler à quelqu'un ou d'être rassuré.
Les journées de Max sont rythmées par les cours et différentes activités dirigés par des professeurs et animateurs qui se relaient afin de le faire "sortir de son monde". Un jour, Max disparaît de l'école au moment de l'interclasse et c'est la stupéfaction, lui qui est incapable de traverser la rue tout seul.
Son ami imaginaire, Budo, va partir à sa recherche.
Une intrigue originale bien menée, des personnages attachants.
à lire dès 13 ans.