Ce livre est un roman de science-fiction dystopique, dans un futur proche où les américaines sont réduites à 100 mots par jour. Jean McClellan est docteure en neurosciences aux Etats-Unis, jusqu’au jour où les femmes sont réduites au quasi-silence par un bracelet compte-mot. Un an après, elle peut reprendre son travail sous condition et retrouve sa parole.
La thématique principale m’intéresse fortement, tout ce qui touche au féminisme, aux droits des femmes me plait. Cette dystopie que nous propose Christina Dalcher est effrayante, n’avoir que 100 mots par jour, avec un compteur
de mots au poignet et un gouvernement terrifiant, qui réduisent les femmes au silence ! Une organisation est aussi créée, s’appelant les Purs pour purifier (logique) la population, tout est mis en place pour remettre les hommes au pouvoir. Ce roman met mal à l’aise, j’ai eu envie de crier et de pleurer en lisant les premiers chapitres et quelques passages terribles par rapport aux femmes et à ce qu’il leurs arrive durant l’histoire.
Le temps que l’histoire se mette en place, on suit donc Jean, docteure en neurosciences, qui reprend enfin le travail après un an de quasi-silence. Petit à petit, elle fait bouger les choses, une pierre après l’autre, pour reprendre ses droits et libérer la parole à sa fille et elle. Malgré toute la partie neuroscientifique où j’ai eu du mal à suivre, ce roman se lit bien, un bon mélange entre descriptions, réflexions et actions.
Certains des personnages sont horribles, j'ai eu envie de les baffer, comme Morgan, le direction de Jean, ainsi que son mari et son fils ainé ; qui adhèrent presque sans discuter et sans réflexion à cette société dystopique ! Comment peut-on adhérer à un système sans se poser de questions, sans réfléchir ni se renseigner ?!
Je pense, comme beaucoup de personnes, j’ai eu un peu de mal sur les derniers chapitres où certains événements sont précipités, légèrement bâclés pour éviter des choix. J’aurais aimé un peu plus de précisions et de profondeur sur l’après.
Dans l’ensemble, une très bonne lecture, amenant à beaucoup de réflexions sur les droits des femmes, nos sociétés actuelles ...
Je veux me battre, mais je ne sais pas comment.
Ce livre est un roman de science-fiction dystopique, dans un futur proche où les américaines sont réduites à 100 mots par jour. Jean McClellan est docteure en neurosciences aux Etats-Unis, jusqu’au jour où les femmes sont réduites au quasi-silence par un bracelet compte-mot. Un an après, elle peut reprendre son travail sous condition et retrouve sa parole.
La thématique principale m’intéresse fortement, tout ce qui touche au féminisme, aux droits des femmes me plait. Cette dystopie que nous propose Christina Dalcher est effrayante, n’avoir que 100 mots par jour, avec un compteur de mots au poignet et un gouvernement terrifiant, qui réduisent les femmes au silence ! Une organisation est aussi créée, s’appelant les Purs pour purifier (logique) la population, tout est mis en place pour remettre les hommes au pouvoir. Ce roman met mal à l’aise, j’ai eu envie de crier et de pleurer en lisant les premiers chapitres et quelques passages terribles par rapport aux femmes et à ce qu’il leurs arrive durant l’histoire.
Le temps que l’histoire se mette en place, on suit donc Jean, docteure en neurosciences, qui reprend enfin le travail après un an de quasi-silence. Petit à petit, elle fait bouger les choses, une pierre après l’autre, pour reprendre ses droits et libérer la parole à sa fille et elle. Malgré toute la partie neuroscientifique où j’ai eu du mal à suivre, ce roman se lit bien, un bon mélange entre descriptions, réflexions et actions.
Certains des personnages sont horribles, j'ai eu envie de les baffer, comme Morgan, le direction de Jean, ainsi que son mari et son fils ainé ; qui adhèrent presque sans discuter et sans réflexion à cette société dystopique ! Comment peut-on adhérer à un système sans se poser de questions, sans réfléchir ni se renseigner ?!
Je pense, comme beaucoup de personnes, j’ai eu un peu de mal sur les derniers chapitres où certains événements sont précipités, légèrement bâclés pour éviter des choix. J’aurais aimé un peu plus de précisions et de profondeur sur l’après.
Dans l’ensemble, une très bonne lecture, amenant à beaucoup de réflexions sur les droits des femmes, nos sociétés actuelles ...