42,50 €
Paris brûle !. L'incendie des barrières de l'octroi en juillet 1789
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
- Nombre de pages428
- FormatePub
- ISBN978-2-336-87572-9
- EAN9782336875729
- Date de parution26/06/2019
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille13 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierPierre Serna
- PréfacierBruno Collin
Résumé
Avant la prise de la Bastille, entre le 10 et le 14 juillet 1789, la population parisienne dévaste et incendie les bureaux de l'octroi, où sont perçues des taxes sur les produits de consommation et qui délimitent le Mur des Fermiers généraux. Les ravages qui se produisent lors de ces attaques soulignent la montée d'une exaspération sociale qui a sa propre autonomie, distincte du mouvement qui se porte sur la Bastille.
L'auteur établit que les destructions aux barrières en juillet 1789 s'inscrivent dans le temps long des résistances antifiscales et constituent un soulèvement général aux racines profondes.
L'auteur établit que les destructions aux barrières en juillet 1789 s'inscrivent dans le temps long des résistances antifiscales et constituent un soulèvement général aux racines profondes.
Avant la prise de la Bastille, entre le 10 et le 14 juillet 1789, la population parisienne dévaste et incendie les bureaux de l'octroi, où sont perçues des taxes sur les produits de consommation et qui délimitent le Mur des Fermiers généraux. Les ravages qui se produisent lors de ces attaques soulignent la montée d'une exaspération sociale qui a sa propre autonomie, distincte du mouvement qui se porte sur la Bastille.
L'auteur établit que les destructions aux barrières en juillet 1789 s'inscrivent dans le temps long des résistances antifiscales et constituent un soulèvement général aux racines profondes.
L'auteur établit que les destructions aux barrières en juillet 1789 s'inscrivent dans le temps long des résistances antifiscales et constituent un soulèvement général aux racines profondes.
A propos de Momcilo Markovic