Paris brûle !. L'incendie des barrières de l'octroi en juillet 1789
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- Nombre de pages428
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.649 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,7 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-343-17683-3
- EAN9782343176833
- Date de parution24/06/2019
- CollectionChemins de la mémoire
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierPierre Serna
- PréfacierBruno Collin
Résumé
Le 14 juillet, la Bastille est prise ! Il n'y a nul besoin de préciser l'année tant notre univers républicain s'est approprié cette journée. Pourtant, avant même que la prison-forteresse ne tombe, la population parisienne, entre le 10 et le 14 juillet 1789, dévaste et incendie les bureaux de l'octroi qui délimitent le Mur des Fermiers généraux. Cette enceinte fiscale, haute de plus de trois mètres, entoure totalement la ville.
Le mur est coupé par des barrières d'octroi (des bâtiments) où des employés perçoivent des taxes sur les produits de consommation acheminés dans la capitale, procurant ainsi des gains importants au pouvoir. Paris est en proie aux saccages et aux flammes. Le peuple s'attaque ainsi au despotisme fiscal et réclame plus de liberté et d'égalité. Les ravages qui se produisent aux barrières soulignent la montée d'une exaspération sociale qui a sa propre autonomie, distincte du mouvement qui se porte sur la Bastille.
Les nouveaux garants de l'ordre ne veulent pas comprendre la fureur du peuple et saisir le sens des dégradations ; pour eux, c'est un peuple-brigand, composé de fraudeurs, qui profite des troubles. Le procès des Incendiaires aux barrières qui se déroule un an plus tard n'aboutira pas, l'Assemblée nationale préfère jeter " un voile sur le passé e, appréhendant une réaction trop vive du peuple parisien.
Le mur est coupé par des barrières d'octroi (des bâtiments) où des employés perçoivent des taxes sur les produits de consommation acheminés dans la capitale, procurant ainsi des gains importants au pouvoir. Paris est en proie aux saccages et aux flammes. Le peuple s'attaque ainsi au despotisme fiscal et réclame plus de liberté et d'égalité. Les ravages qui se produisent aux barrières soulignent la montée d'une exaspération sociale qui a sa propre autonomie, distincte du mouvement qui se porte sur la Bastille.
Les nouveaux garants de l'ordre ne veulent pas comprendre la fureur du peuple et saisir le sens des dégradations ; pour eux, c'est un peuple-brigand, composé de fraudeurs, qui profite des troubles. Le procès des Incendiaires aux barrières qui se déroule un an plus tard n'aboutira pas, l'Assemblée nationale préfère jeter " un voile sur le passé e, appréhendant une réaction trop vive du peuple parisien.
Le 14 juillet, la Bastille est prise ! Il n'y a nul besoin de préciser l'année tant notre univers républicain s'est approprié cette journée. Pourtant, avant même que la prison-forteresse ne tombe, la population parisienne, entre le 10 et le 14 juillet 1789, dévaste et incendie les bureaux de l'octroi qui délimitent le Mur des Fermiers généraux. Cette enceinte fiscale, haute de plus de trois mètres, entoure totalement la ville.
Le mur est coupé par des barrières d'octroi (des bâtiments) où des employés perçoivent des taxes sur les produits de consommation acheminés dans la capitale, procurant ainsi des gains importants au pouvoir. Paris est en proie aux saccages et aux flammes. Le peuple s'attaque ainsi au despotisme fiscal et réclame plus de liberté et d'égalité. Les ravages qui se produisent aux barrières soulignent la montée d'une exaspération sociale qui a sa propre autonomie, distincte du mouvement qui se porte sur la Bastille.
Les nouveaux garants de l'ordre ne veulent pas comprendre la fureur du peuple et saisir le sens des dégradations ; pour eux, c'est un peuple-brigand, composé de fraudeurs, qui profite des troubles. Le procès des Incendiaires aux barrières qui se déroule un an plus tard n'aboutira pas, l'Assemblée nationale préfère jeter " un voile sur le passé e, appréhendant une réaction trop vive du peuple parisien.
Le mur est coupé par des barrières d'octroi (des bâtiments) où des employés perçoivent des taxes sur les produits de consommation acheminés dans la capitale, procurant ainsi des gains importants au pouvoir. Paris est en proie aux saccages et aux flammes. Le peuple s'attaque ainsi au despotisme fiscal et réclame plus de liberté et d'égalité. Les ravages qui se produisent aux barrières soulignent la montée d'une exaspération sociale qui a sa propre autonomie, distincte du mouvement qui se porte sur la Bastille.
Les nouveaux garants de l'ordre ne veulent pas comprendre la fureur du peuple et saisir le sens des dégradations ; pour eux, c'est un peuple-brigand, composé de fraudeurs, qui profite des troubles. Le procès des Incendiaires aux barrières qui se déroule un an plus tard n'aboutira pas, l'Assemblée nationale préfère jeter " un voile sur le passé e, appréhendant une réaction trop vive du peuple parisien.