Biographie de Mig
Né en 1975 près de Lille, Mig rêve depuis tout jeune de pouvoir raconter des histoires comme celles de ses héros favoris, lui qui est issu de la génération Goldorak. En 1995, il décroche un BTS option dessin animé (1993) et un BTS EVEC (Expression Visuelle Espace de Communication). À peine ses études terminées, il rentre chez Et cetera, studio officiel des éditions Albert René. Il commence son apprentissage du pinceau en mettant en scène les personnages d'Astérix sur différents supports de produits dérivés.
En 1999, il collabore au fanzine The End et rencontre Hervé Richez lors d'un salon BD, ce qui débouchera sur la création de Sam Lawry en 2001 puis Le Messager en 2002.
Devenu dessinateur freelance, il travaille en parallèle dans la pub et le marché du produit dérivé de licence. Il conçoit également des BD de Winnie l'Ourson dans Winnie lecture et Winnie magazine. Un avenir prometteur se profile à l'horizon pour ce jeune dessinateur aux projets plein la tête.
Né en 1975 près de Lille, Mig rêve depuis tout jeune de pouvoir raconter des histoires comme celles de ses héros favoris, lui qui est issu de la génération Goldorak.
En 1995, il décroche un BTS option dessin animé (1993) et un BTS EVEC (Expression Visuelle Espace de Communication). À peine ses études terminées, il rentre chez Et cetera, studio officiel des éditions Albert René. Il commence son apprentissage du pinceau en mettant en scène les personnages d'Astérix sur différents supports de produits dérivés. En 1999, il collabore au fanzine The End et rencontre Hervé Richez lors d'un salon BD, ce qui débouchera sur la création de Sam Lawry en 2001 puis Le Messager en 2002.
Devenu dessinateur freelance, il travaille en parallèle dans la pub et le marché du produit dérivé de licence.
Il conçoit également des BD de Winnie l'Ourson dans Winnie lecture et Winnie magazine. Un avenir prometteur se profile à l'horizon pour ce jeune dessinateur aux projets plein la tête.
Un deuxième succès retentissant
Encore une fois, Mig frappe un grand coup avec ce deuxième tome de la série. Le dessin est toujours aussi savant et agréable, et l'histoire se développe avec des enjeux grandissants. On en apprend beaucoup sur les poupées de Sadida, et la Fratrie des Oubliés se révèle peu à peu au lecteur. Ogrest, toujours aussi naïf, accumule rapidement les expériences de vie et semble maintenant avoir atteint le stade de développement physique qu'on lui connaît à l'Ère du Wakfu, ce qui ne sera pas sans causer de nouveaux problèmes. On sent la tension monter avec les enjeux, et on plonge facilement dans un monde qu'on ne voudrait pas quitter après 200 pages pourtant bien remplies.
Vivement la suite !