Les contes d’un matin - E-book - Multi-format

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Résumé

Extrait : Je m'aperçus, la veille du dernier des vingt-six termes que je n'avais pas payés, que ma poche était vide. Je n'en fus pas autrement surpris, car cela m'était déjà arrivé, et, toute ma vie, j'ai toujours eu cinq sous de moins que le Juif errant. Mais le Français est né prévoyant. Je voulus prévoir. Ayant lu dans un journal que certains magasins américains avaient acheté en toute propriété des hommes-sandwiches, j'allai me proposer à feu le directeur des docks de Californie.
Il accepta et je me vendis pour mille francs.

Caractéristiques

  • Date de parution
    07/06/2013
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-8247-1489-9
  • EAN
    9782824714899
  • Format
    Multi-format
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À propos de l'auteur

Jean Giraudoux

Biographie de Jean Giraudoux

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En 1909, son premier livre Provinciales est publié. En 1910, Jean Giraudoux devient élève vice-consul à la direction politique et commerciale du ministère des Affaires étrangères. Il mènera dès lors de front ses deux carrières : écrivain et diplomate. Blessé durant la Première Guerre mondiale, il officiera par la suite dans des missions diplomatiques au Portugal et aux États-Unis. Avant d'être un auteur de théâtre reconnu, Jean Giraudoux a écrit une multitude de romans et de nouvelles : L'école des indifférents (1913), Retour d'Alsace.
Août 1914 (1916), Lectures pour une ombre (1917), Amica America et Simon le pathétique (1918), Suzanne et le pacifique (1922), Siegfried et le Limousin (1924) et Juliette au pays des hommes (1924). Ses pièces deviendront des succès : Amphitryon 38 (1929), Judith (1931), Intermezzo (1933), La guerre de Troie n'aura pas lieu (1935), Électre (1937), Ondine (1939), Sodome et Gomorrhe (1943), La folle de Chaillot (1945). Nommé chevalier de la Légion d'honneur lors de la Première Guerre mondiale, puis commandeur en 1936, Jean Giraudoux devient commissaire général à l'information durant la seconde guerre mondiale et directeur des monuments historiques en 1940. Son rôle sous l'occupation reste cependant controversé, certains lui attribuant une activité résistante, d'autres l'accusant d'antisémitisme et de racisme.
Jean Giraudoux meurt le 31 janvier 1944 d'une pancréatite. Le lycée de Châteauroux, où il a fait ses classes, porte aujourd'hui son nom.

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