Les 100 mots de la philosophie - E-book - Multi-format

2e édition

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Résumé

Tous les mots de la langue sont philosophiques. Particulièrement les plus communs d'entre eux qui renvoient aux expériences et aux problèmes de chacun - la vie, la mort, l'amour et la haine, la justice, l'être, etc. Ils introduisent à la philosophie. Mais le langage n'est pas neutre et, pour penser le réel, les philosophes doivent le redécouper, inventer de nouveaux sens, parfois de nouveaux mots.
Ces créations conceptuelles décisives sont familières et mal connues, tels le cogito de Descartes ou le conatus de Spinoza. Enfin la philosophie, comme toute pratique rigoureuse, forge ses termes techniques, ses mots-outils, ses territoires : éthique, métaphysique, causalité, empirisme... Cet ouvrage propose donc des « entrées en philosophie » par ces trois sortes de mots. Par des définitions claires et informées, mais aussi originales et contemporaines, il initie aux notions, aux ouvres et à la pensée vivante. À lire également en Que sais-je ?... La philosophie (Lien -> /content/La_philosophie), André Comte-Sponville

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À propos de l'auteur

Biographie de Frédéric Worms

Devant le cours inédit de Bergson au Collège de France, celui de Deleuze sur Bergson, ou le dossier issu des colloques de Prague et de Paris sur « Bergson et la phénoménologie », on peut presque éprouver le sentiment en partie illusoire, mais irrésistible, celui d'assister à l'histoire de la philosophie en train de se faire. Au printemps 1904 tout d'abord, Bergson enseigne donc l'histoire des théories de la mémoire.
Loin d'un simple retour en arrière vers Matière et mémoire, il s'agit d'un effort sui generis : une critique de la métaphysique inconsciente des théories de la mémoire, qui annonce l'histoire de la métaphysique de L'évolution créatrice, un retour aussi aux textes eux-mêmes, entraînant une lecture surprenante, unique, d'Aristote ou de Descartes. Quant au cours prononcé par Deleuze en 1960 sur le chapitre III de L'évolution créatrice, c'est une étape de la lecture commencée dès 1956, poursuivie par le livre de 1966 (Le bergsonisme), continuée dans toute une ouvre.
Il s'agit moins d'une perspective d'un auteur sur un autre, que de deux mouvements singuliers qui se croisent, se séparent, s'éclairent l'un l'autre. Les études « Bergson et la phénoménologie » issues des colloques de Prague (2002) et Paris (2003) établissent une relation privilégiée, aussi bien à travers des problèmes communs et des solutions opposées (du mouvement et de la conscience jusqu'à la vie et la liberté), qu'à travers des rencontres, de Husserl à Levinas en passant par Scheler ou Ingarden, Sartre ou Merleau-Ponty.
Le tout est complété par deux études sur des lettres inédites et sur la relation entre Canguilhem et Bergson, ainsi que des recensions d'ouvrages. « Bergson, Deleuze, la phénoménologie » : des relations parmi celles qui ne sont pas « dans » ou « pour » une histoire de la philosophie indépendante d'elles, mais qui sont et qui font en même temps la philosophie et son histoire. - F. Worms -

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