Avec ce titre, l’auteur nous permet de faire un point, sur l’écologie de l’existence humaine, sur l’idée de collapsologie, en prenant garde à ne pas verser dans une heuristique de la peur très « jonassienne ».
Et comme il est curieux de sortir de cette lecture revigoré, en stoïcien presque, dans un état quasi ataraxique.
la fin du monde?
Un texte court, incisif, et très dense.
Très inspiré par les temps qui courent!